@Fuego
Je suis enchantée de ce que je lis, surtout au début
Au début j’ajouterais que plus le rayon d’action d’un pouvoir est long, plus il est autiste, c’est mécanique.
Réformer la constitution de 1958 en tenant compte des lignes 2 et 3 ( après « bonjour » ) me semble impossible car ces deux lignes exigent de tout repenser, à partir de zéro !
Du coup, à la liste centrale, il faudra rajouter les pouvoirs appartenant à 100% au peuple, sans l’interface des VIP ( résister, refuser, proposer, décider, licencier, créer, entre autres )
Pour ce qui est de l’éducation ( oulala le mot conditionnement …), c’est un sujet délicat car il faudrait commencer par éduquer les éducateurs à la liberté de pensée (liberté vraie) . Mais il faut bien commencer avec ce qu’on a ;;;; En outre : L’éducation ne se résume pas à l’école (ici s’ouvre un vaste champ de réflexion ), et je ne pense pas là qu’aux médias.
Nous voulons la démocratie.
La démocratie pour être bénéfique exige un haut niveau de conscience global.
Il faut donc « mettre le paquet » sur la promotion de la conscience.
(La conscience est un concept qui a été peu traité sur ce forum …)
Je suis entièrement d’accord Ana. Un peuple ne saurais réclamer une véritable démocratie s’il n’en a conscience de sa véritable définition. Sans l’éducation, nous ne saurions être ici à débattre de l’éducation même
Pour revoir la politique, il faut revoir la pensée, pour revoir la pensée il faut revoir l’éducation et pour revoir l’éducation il faut réapprendre soi même.
C’est ce que beaucoup d’entre nous avons fait mais pourquoi? Parceque l’école ne nous apprend pas à penser par nous même ni ne nous apprend la véritable définition de la démocratie autant qu’elle ne nous apprend pas à nous révolter.
Si nous ne réformons pas l’éducation nationale sur ce point, nos enfants serons condamnés et réapprendre comme nous l’avons fait et de ce fait perdrons un temps phénoménal.
La constitution a le devoir de préserver l’éducation sans nulle autre motif que pour protéger nos acquis de connaissance. Connaissances qui nous libère nos esprits critiques. Car nul n’est plus asservi que celui qui ne prend connaissance de ses propres chaînes.
il y a 200 ans, la plèbe était illétrée et sans connaissances car l’école n’était pas obligatoire ni gratuite.
Tout ce qui est vertueux et utile au bien commun et à l’intérêt général dois être public.
il y a 200 ans, la plèbe était illétrée et sans connaissances car l'école n'était pas obligatoire ni gratuite.
Consultez les cahiers de doléances de 1789, et comparez leur teneur avec celle des forums politiques du XXIe siècle. Vous serez surpris.
Analphabète n'implique pas illettré (pour mémoire Homère était analphabète et Shakespeare ou Rousseau n'ont pas fréquenté d'école obligatoire et gratuite - tous trois plébéiens).
Bonsoir,
Développez votre discours sur les cahiers de doléances de 1789 si vous le voulez bien, cela m’intéresse.
Concernant la nuance entre analphabète et illettré, je vous prie de bien vouloir m’excuser vous avez tout à fait raison sur ce point.
En tout cas merci de l’éclairage de votre connaissance.
@Jacques Roman
Une question: qu’est ce qui détermine la différence entre une importante révision constitutionnelle et un changement de constitution ?
Dis autrement, jusqu’où la V peut être amendée sans devenir nécessairement la VI ?
Merci
il y a 200 ans, la plèbe était illétrée et sans connaissances car l'école n'était pas obligatoire ni gratuite.
Je reviens sur ce point parce que je viens de découvrir quelque chose qui m'a stupéfait en jouant avec les statistiques du CIA World Factbook (et pourtant j'ai lu [i]Une société sans école[/i]):
Il n’y a pas de corrélation significative, ni positive ni négative, entre le taux d’illettrisme et les dépenses consacrées à l’éducation (en % du PIB) !
Il vous faudra faire un copié-collé des données concernées dans un tableur et connaître la définition mathématique de la corrélation (puisqu’elle n’est pas dans les fonctions prédéfinies des principaux tableurs).
Pour ma part je pense que la partit I manque d’enormement de chose, nottement du type de suffrage lors des elections. Si on a des elections comme aujourd’hui on risque d’etre dans la mouise encore qu’elles que années. Je pense qu’on devrait procédé comme sa: Une election a des assemblée primaire, election libre sans candidat comme durant l’election au état géneraux. Et ensuite dans toutes ces elections primaires ont voterais de la méme façons que dans l’assemblée primaire, mais cet fois si pour élire tel personne au conseil constite, au parlement supérieur, a toutes instance du dessus en faite. Avec a chaque fois au moin 25% de gens tirés au sort a la base pour toutes institutions. Enfin l’election des membres de l’assemblée primaire qui désignerai leurs meilleur serait une liste où les « élus » seraient ensuite tiré au sort. De cet façons on anhile toutes véhilité de pouvoir, sans jamais tombé sur des impacapable (apart certein des 25%, mais bon n’y a t il pas d’incapable déja aujoud’hui ?). Apres on peut perfectionné le principe.
Désolé d’en parler là; mais c’est parceque je lisais le mode de désignation du CSM et je le trouver soit peut démocratique, soit pas assez bien expliquer.
PS: Si il y a une rubrique scpecialisé sur le mode d’election envoyé moi le lien. Désolé pour l’orthographe execrable :s
il y a 200 ans, la plèbe était illétrée et sans connaissances car l'école n'était pas obligatoire ni gratuite.
Je reviens sur ce point parce que je viens de découvrir quelque chose qui m'a stupéfait en jouant avec les statistiques du CIA World Factbook (et pourtant j'ai lu [i]Une société sans école[/i]):
Il n’y a pas de corrélation significative, ni positive ni négative, entre le taux d’illettrisme et les dépenses consacrées à l’éducation (en % du PIB) !
Ce n’est pas surprenant si l’on s’en tient à la définition de l’illetrisme comme l’état d’une personne qui ne maîtrise ni la lecture ni l’écriture (c’est tout à fait différent de l’analphabétisme). La lecture et l’écriture sont de nos jours des exercices de plus en plus rares dans la mesure où les images et les écrits rudimentaires ont tendance à remplacer les écrits composés traditionnels (je pense en particulier aux messages sms) : dans ces conditions, le manque de pratique aboutit à fatalement au manque de maîtrise de la langue écrite et lue (à l’illetrisme), et les budgets n’y feront rien. JR
il y a 200 ans, la plèbe était illétrée et sans connaissances car l'école n'était pas obligatoire ni gratuite.
Je reviens sur ce point parce que je viens de découvrir quelque chose qui m'a stupéfait en jouant avec les statistiques du CIA World Factbook (et pourtant j'ai lu [i]Une société sans école[/i]):
Il n’y a pas de corrélation significative, ni positive ni négative, entre le taux d’illettrisme et les dépenses consacrées à l’éducation (en % du PIB) !
Ce n’est pas surprenant si l’on s’en tient à la définition de l’illetrisme comme l’état d’une personne qui ne maîtrise ni la lecture ni l’écriture (c’est tout à fait différent de l’analphabétisme). La lecture et l’écriture sont de nos jours des exercices de plus en plus rares dans la mesure où les images et les écrits rudimentaires ont tendance à remplacer les écrits composés traditionnels (je pense en particulier aux messages sms) : dans ces conditions, le manque de pratique aboutit à fatalement au manque de maîtrise de la langue écrite et lue (à l’illetrisme), et les budgets n’y feront rien. JR
La définition de « literacy » donnée par le site :
Unless otherwise specified, all rates are based on the most common definition - the ability to read and write at a specified age.
Nous parlons donc d’analphabétisme – pas d’illettrisme.
Il me semble que les taux d’analphabétisme ont reculé sensiblement et régulièrement grâce justement aux immenses dépenses consenties dans le passé pour mettre en place l’école obligatoire et gratuite (payée par l’État).
Ces dépenses ont donné le résultat espéré: dans des pays comme la France, il y a longtemps que l’analphabétisme n’existe pratiquement plus, et les 2 % d’analphabètes (sans doute moins ) sont pour la plupart des cas particuliers que tout l’or du monde n’arriverait pas à alphabétiser.
Par conséquent, la corrélation qui vous surprend n’est pas du tout surprenante.
Mais je ne serais pas surpris que le taux d’illettrisme (mauvaise maîtrise de la lecture et de l’écriture) se situe aux environs de 40/50 % en France.
C’est une question de degré, évidemment : j’ai donné moi-même un bel exemple d’illettrisme en laissant passer un « illetrisme » (sic) dans mon précédent message… JR
Ce qui me surprend, pour la raison que vous donnez, et qui vous surprend au point que vous comprenez le contraire de ce qui est écrit, c’est l’absence de corrélation.
Le fait que le taux d’analphabétisme soit indépendant des dépenses consenties ne vous surprend pas pour la raison que le taux d’analphabétisme a reculé grâce aux dépenses consenties ? Parfois les fondements de votre raisonnement me sont inaccessibles.