26 Étienne Chouard, tête de liste aux prochaines européennes ? (AJH) Un nouveau parti, sans chef et sans programme ? (ÉC)

Concernant des propositions pour un nom de parti (qui n’en sera pas un) :
Les appareils politiques institutionnels ont tous des lettres, PS, UMP, FN, ou encore MODEM, PC, etc…
Je pense qu’un parti de plus avec des lettres ne retiendra pas l’attention des français, et qu’il faut partir sur des chiffres.

Pourquoi pas tout simplement : 1789
C’est un chiffre que tout français a en tête, une date fondatrice, de révolte, facilement identifiable et compréhensible, et suffisament démarquant pour un nom de parti.

ça peut être une solution.

MAIS voici ce que je pense :

Doubler le système démocrate existant pas une assemblée tirée au sort au niveau locale serait une jolie solution.

ça permettrait de tester la « formule » et l’inscrire au programme de différents aspirants « maires ». En fait, mieux que de créer un parti ça mettrait le « tirage au sort » dans pleins de partis et dans quelques mairie.

ça serait un premier pas, je crois, plus efficace que d’aller s’embringuer dans le système… Car personne ne peut réchapper à une certaine forme de « professionnalisation ». Et si Mr Chouard en réchappe quid de ses portes drapeaux ?
Et puis ça serait plus rapidement efficace car les « solutions locales » sont souvent plus efficace (ça peut répondre au problème de la Monnaie entre autre…)

Enfin… pensez-y : )

« Doubler le système démocratique par une assemblée nationale tirée au sort ? »

Votre suggestion vient à pic, Columbuscore !

Voyez le tout récent projet de statuts des « Sans-Œillères », que vous trouverez sur le fil

55 Pour l’exercice collectif des instruments de la démocratie directe : projet d’association « loi de 1901 » (ex pour des comités citoyens tirés au sort) (http://etienne.chouard.free.fr/forum/viewtopic.php?pid=13288#p13288)

J’ajoute que je verrais très bien Étienne Chouard en coordonnateur provisoire de la nouvelle association civique, le temps de mettre sur pied les comités civiques de base et la nouvelle « assemblée civique nationale »… Après, évidemment, sa participation dépendrait du sort.

Hélas ! Je doute que ça l’intéresse : et pourtant, si on y regarde bien, ces statuts sont riches de possibilités. JR

[b]"Doubler le système démocratique par une assemblée nationale tirée au sort ?"[/b]

Votre suggestion vient à pic, Columbuscore !

Voyez le tout récent projet de statuts des « Sans-Œillères », que vous trouverez sur le fil

55 Pour l’exercice collectif des instruments de la démocratie directe : projet d’association « loi de 1901 » (ex pour des comités citoyens tirés au sort) (http://etienne.chouard.free.fr/forum/viewtopic.php?pid=13288#p13288)

J’ajoute que je verrais très bien Étienne Chouard en coordonnateur provisoire de la nouvelle association civique, le temps de mettre sur pied les comités civiques de base et la nouvelle « assemblée civique nationale »… Après, évidemment, sa participation dépendrait du sort.

Hélas ! Je doute que ça l’intéresse : et pourtant, si on y regarde bien, ces statuts sont riches de possibilités. JR


Ce qu’il est très facile a faire c’est de tirer au sort un Conseil des citoyens de 7personnes sur l’annuaire téléphonique qui a pour mission de veiller au bon déroulement de procédure de RIC selon les modalités que propose le R.I.C. Voir instaurer le RIC dans votre commune.
MAIS il faut b ien sûr qu’il y ait des projets contestés pour qu’un RIC puisse être lancé… Et au moins 5 ou 6 personnes motivées.
A

Le simple tirage au sort sur un annuaire téléphonique supprime la dimension débat public, essentielle pour le sain exercice de la démocratie.

Il faudrait aussi que ces personnes soient volontaires.

Les annuaires téléphoniques, s’ils existent encore, ne disent pas si une personne est volontaire, ou si elle inscrite sur les listes électorales. JR

Le simple tirage au sort sur un annuaire téléphonique supprime la dimension débat public, essentielle pour le sain exercice de la démocratie.

Il faudrait aussi que ces personnes soient volontaires.

Les annuaires téléphoniques, s’ils existent encore, ne disent pas si une personne est volontaire, ou si elle inscrite sur les listes électorales. JR


Le conseil des citoyens a un simple rôle de juge de paix. Les gens qui ne veulent pas n’acceptent pas Il faut en appeler au moins 10 pour avoir un accord. Cela dépends des villes… Il a fallu beaucoup plus à LILLE…

Si c’est entre volontaires ce n’est plus un tirage au sort…

Mais pourquoi pas…

Bonjour,

Je voudrais soumettre une idée à la critique, si l’idée n’a pas déjà été proposée :

Commuer le vote blanc en « députés citoyens » tirés au sort

Pour les élections législatives, mandat non renouvelable de 6 mois pour les députés citoyens,

les députés citoyens, pour voter pour ou contre les projets de lois du gouvernement, et se positionner sur les propositions de lois issues de l’assemblée, porteront la parole du vote majoritaire de l’assemblée citoyenne siégeant en parallèle à l’assemblée nationale.

Plus que le positionnement sur les projets de lois, seront débattus et votés dans l’assemblée citoyenne, le sujet sur lequel légiférer, le contenu, la formulation, etc

pour les tirés au sort, réédition des comptes, et tout les contrôles existant pour le tirage au sort

Objectif : en 25 ans, cinq cycles électoraux, plus aucun député professionnel

instiller progressivement et « en douceur » le tirage au sort…qui se développera si les propositions de lois des députés citoyens sont pour l’intérêt commun….ces députés citoyens pourraient faire, par exemple, entrer le référendum d’initiative populaire (porte d’entrée d’une constituante citoyenne)

et diffuser l’idée du tirage au sort par les tenants de la prise en compte du vote blanc, nombre non négligeable d’électeurs actuel (sans compter les abstentionnistes)

bon, la formulation n’est peut être pas la plus claire possible, merci de vos critiques

Pas mal cette idée d’attribuer par tirage au sort le nombre de sièges correspondant au pourcentage de votes blancs…

Bonjour Candide,

merci pour votre réponse, cette idée de commuer le vote blanc en députés citoyens tirés au sort a bien sûr déjà été plusieurs fois avancée sur ce fil sur le vote blanc…j’avais commencé par le lire par la fin ! or dès l’intervention #2 il en est question…bref, j’ai « inventé » l’eau tiède

il n’empêche que cette idée est bonne

j’imagine qu’il en sera de même pour l’idée des assemblées citoyennes pour débattre et voter les articles de la wikiconstitution…
commentaire #5

http://etienne.chouard.free.fr/Europe/forum/index.php?2012/05/13/221-videos-de-notre-recent-echange-a-lyon-le-5-mai-dernier#co

merci pour votre remarque en tout cas

A propos d’un parti européen ‹ sans programme ›
… si ce n’est celui de rendre l’Europe plus démocratique :
Newropeans

Bonjour Téhach, désolé pour ma non-réponse à ton dernier message privé. Attention aux mots, l’expression : « rendre l’Europe plus démocratique » me paraît inexacte, puisque les pays d’Europe étaient plus démocratiques avant l’existence de l’Union Européenne. Le programme de Newropeans est donc bien de « rendre L’Union Européenne plus démocratique ». Vaste programme !

Il ne semble pas que l’on puisse réussir changer le système avec très peu de modifications dans le mode de pensée qui l’a engendré. Je crois qu’il est souhaitable de laisser tomber l’idée de supranationalité au coeur du projet de « construction » européenne, car je pense que les gardes-fous proposés par Newropeans sont illusoires. À ce titre, sortir de l’Union Européenne et entrer dans l’Association Européenne de libre-échange serait déjà un mieux, un progrès par rapport à cette idée de réformer la « construction » européenne. Ceci d’autant plus que cette promesse de changer d’Europe, de changer l’Europe nous est faite depuis de nombreuses décennies sans aucun résultat positif pour les simples citoyens que nous sommes. Je mets à la suite un article d’Horizons et débats :

[align=center]L’AELE – une alternative au traité de réforme de l’UE[/align]
par Titine Kriesi

L’Association européenne de libre-échange (AELE) a été fondée dans les années 60 pour favoriser la croissance économique, le plein emploi, l’augmentation de la productivité, la stabilité financière et une constante amélioration du niveau de vie. Cela devait être atteint par la réduction des restrictions commerciales entre les Etats-membres. Aujourd’hui, il reste quatre Etats-membres: la Suisse, la Norvège, l’Islande et la Principauté du Liechtenstein; les autres pays ont adhérés à l’UE. L’AELE n’a jamais aspiré à une fédération politique et a toujours été strictement contre le principe de la supranationalité. C’est le contraire de l’UE, qui est aujourd’hui une construction antidémocratique et centraliste. Les Etats-membres de l’AELE se sont mis d’accord sur une réduction progressive des tarifs sur les produits industrialisés sans renoncer à leur souveraineté. Depuis 1994, l’AELE a convenu, avec beaucoup de succès, des accords de libre-échange avec les pays de l’ancien bloc soviétique, avec Israël et l’Autorité palestinienne. En outre, il existe des accords de coopération avec l’Albanie, l’Egypte et la Macédoine. L’AELE n’a jamais voulu établir un marché commun, mais uniquement régler le libre-échange sur la base d’un commerce respectant des conditions de concurrence équitables. Les Etats-membres ont exclu les produits agricoles, car la prise en compte des produits agricoles aurait contredit la structure fondamentale de l’AELE: la liberté des activités commerciales aurait également été limitée. Les Etats-membres de l’AELE reconnaissent le principe de l’autosuffisance comme un devoir national. L’AELE est une alternative crédible et éprouvée à l’UE. Grâce à la création d’une zone de libre-échange en Europe, les pays de l’AELE ont pu préserver leurs propres intérêts et s’opposer à tout centralisme politique. Pour des pays comme la Suisse c’était d’une importance particulière, parce que cela servait à sa propre sécurité et aidait à soutenir les exploitations traditionnelles et à petits espaces qui sont si typiques pour ce pays. En plus, il y a l’aspect humain: le recours actif à ses propres moyens, l’autodétermination et le droit des pays de décider eux-mêmes de leurs besoins alimentaires. C’est une raison supplémentaire pour laquelle l’AELE est une alternative utile et véritable à l’UE.

Source : http://www.horizons-et-debats.ch/index.php?id=1786

Tirage au sort/vote blanc

L’idée que les votes blancs pourraient se traduire par le tirage au sort de législateurs ou autres gouvernants en proportion des suffrages blans est ingénieuse mais pas logique.

S’il y a un point sur lequel nous sommes d’accord ici (du moins je crois), c’est que le vote blanc ne peut exprimer qu’une chose : le rejet de tous les candidats ou de toutes les propositions en présence. Or, par nature, le tirage au sort aboutirait à désigner des personnes soutenant les propositions rejetées lors de l’élection, ou les opinions de premiers candidats : il s’ensuit que des tirés au sort ne peuvent donc en aucun cas représenter légitimement le vote blanc.

La logique du vote blanc, c’est incontestablement – si ce vote représente la majorité absolue des votants – la répétition de l’élection. Lorsque le vote blanc n’est pas majoritaire, il faudrait voir si on peut en tenir compte sans enfreindre la règle essentielle de la démocratie, qui est celle de la majorité.

Pardon de répéter cette argumentation : elle se trouve quelque part, sans doute sur le présent fil de discussion. JR

Je suis pour que les votes blancs soient considérés comme des suffrages exprimés et comptabilisés à part des" NULS". Mais quel que soit leur nombre ils ne doivent pas avoir de conséquences" spéciales" sur le scrutin.Pas plus que le vote pour un candidat.
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
J e voudrais que l’on m’explique où est la logique de refaire l’élection et surtout où est l’intérêt pour les citoyens.
On garde les programmes et au lieu du député désigné par les partis on aura le suppléant qui est principe est moins bon que le titulaire.
Les parti s’organisent librement on ne peut EXIGER la modification du programme et quand il y a 70 pages cela voudrait dire QUOI ?
°°°°°°°°°°°°°°°°°
De plus surtout s’il y avait des modes de scrutins JUSTES et préférentiels comme dans 18 pays sur les 27 de l’ Union européenne il est bien évident qu’il n’y a aurait jamais la majorité de votant pour le BLANC;
Il y a eu 4,85%% de blancs et nul au second tour de la Présidentielle ET 1,52% au premier tour.
Est-il bien utile d’usr de la salive sur des hypothèse à 50% ?

à Jacques Roman , réponse au message #1152

Bonjour,

Vous êtes inscrit et actif sur ce forum depuis longtemps, et avez discuté de ce point plusieurs fois j’imagine. Merci de répondre, je me permettrai tout même de poursuivre, avec modestie j’espère

Que les tirés au sort aient une opinion politique issus des blocs politiques « classiques » est incontournable. Il ne faut peut être pas mêler le vote blanc à cela, pour ne pas le salir.

Cependant,

  • Diluer ce risque dans le nombre de tirés au sort présents dans l’assemblée citoyenne (577 membres). Les députés citoyens correspondants au vote blanc sont issus de cette assemblée et mandatés pour porter sa parole à l’assemblée parlementaire

  • Tout les débats sont publics, référendum révocatoire valable en son sein

Si le but était de faire advenir le référendum d’initiative populaire (porte d’entrée démocratique), des députés citoyens, même marqués politiquement, seraient plus enclins à proposer la loi nécessaire que des élus professionnels

et même, pour cela, un seul député citoyen serait nécessaire, pour mettre l’assemblée législative « professionnelle » au pied du mur médiatique, non ?

Quelle est la voie la plus courte vers la démocratie ? je n’en sais rien et dois trouver les fils discutant de cette question avant de proposer quoi que ce soit…vous êtes inscrit depuis longtemps, Etienne Chouard a beaucoup travaillé sur le vote blanc, aussi ne la ramènerai-je pas trop :slight_smile:

Il me reste à relire et à réfléchir sur la réponse d’Yvanbachaud #1153 remettant la question dans le cadre européen qui est, il est vrai, l’intitulé de ce fil

Vote blanc/tirage au sort

@Yvan Bachaud (1153) :

Si le vote blanc exprime effectivement l’intention de rejeter tous les candidats ou toutes les propositions en présence, et si cette intention est exprimée par la majorité des votants, ne serait-il pas logique qu’il lui soit donné effet d’une manière ou d’une autre ?

Pourquoi privilégierait-on une minorité qui vote « pour » quand une majorité a voté « contre » ? Le vote blanc ne devrait pas être assimilé au vote nul, nous sommes bien d’accord ; ni non plus à l’abstention (non-participation au scrutin).

@Samsam (1154) :

En effet, la question a été largement discutée sur le site.

Vous dites : « Les députés citoyens correspondants au vote blanc sont issus de cette assemblée et mandatés pour porter sa parole à l’assemblée parlementaire ».

Mais quelle parole devront-ils porter ? La seule, à mon avis, serait leur opposition systématique à la présence des autres élus : ce serait une parole intrinsèquement illogique et forcément dépourvue de tout effet pratique. Sur toute autre question, les « blancs » ne pourraient que se taire.

Vous proposez des palliatifs ; mais les palliatifs ne sont pas des solutions.

La voie la plus courte vers la démocratie, selon moi, c’est la démocratie directe assortie de débats préalables approfondis (comme en Suisse), chaque fois que c’est possible ; et la démocratie représentative assortie de tous les contrôles citoyens nécessaires dans les autres cas.

En ce qui concerne le RIC dans le cadre de l’UE, je me permets de vous renvoyer à l’article 13 du projet http://www.euroconstitution.org (proposition citoyenne de dépôt d’un projet d’acte législatif accompagnée le cas échant d’une demande citoyenne de tenue d’un référendum) et aux notes correspondantes. JR

@ Jacques (#1155)

je réponds, ensuite je remonte le fil pour voir les précédentes discussions avant de revenir

Simplement, vous dites, à propos des députés citoyens « Mais quelle parole devront-ils porter ? »

Et bien, la parole majoritaire de l’assemblée citoyenne des 577 membres tirés au sort s’il n’y a qu’un seul député citoyen, OU la représentativité d’opinion de cette assemblée citoyenne s’il y a plusieurs députés citoyens….ok problème d’arrondis, mais pas immense problème

Si le palliatif permet d’introduire la solution (référendum d’initiative populaire), ce n’est plus un palliatif !

D’accord avec vous sur la démocratie directe, là encore il faudrait que le mode référendaire soit, dans le système actuel, proposé par un député à l’assemblée parlementaire…et pour cela, 1 seul député citoyen suffit (à créer la pression médiatique, pas à faire majorité)

Désolé de répondre rapidement, et merci encore pour vos précédents liens, notamment sur les archives parlementaires de 1787 à 1860, magnifique source……bon, je consulte le fil antérieur pour éclairer ma lanterne

Mais une loi instituant le RIP (et aussi une loi instituant la prise en compte du vote blanc) a déjà été présentée à l'assemblée. Et acceptée d'ailleurs. Il ne reste plus qu'à réveiller le sénat.
pas du tout, mais il faudra l'arracher on lancera des manifestations en septembre tous les mercredis jusqu"à obtenir satisfaction..

1-personnellement je pense qu’ un parti politique pour porter nos revendications est indispensable si nous voulons permettre à nos idées d’ avancer dans l’ opinion, et je pense même qu’ un minimum de programme politique sera indispensable, ous ne pouvons pas arriver à une élection et dire que notre seul programme est institutionnel, les gens ne comprendraient pas

2- bien sûr ce n’ est pas le seul moyen il y a l’ édition et les média pour partager nos idées il va falloir à défaut d’ en creer populariser à travers ceux ci, ou si ça marche pas il faudra avoir le controle de certain médias radio télévision journaux

3_un parti politique de 3 000 personnes nous permetteraient d’ exister, ce sera une première chose, ensuite il faudra atteindre 80 000-90 000 personnes et nous seront une force de frappe comparable aux autres partis

4_bien sur je propose comme chef Etienne Chouard avec un étroi contrôle de celui ci, nous devrions plancher sur un mode d’ organisation d’ un parti, cependant il me parait indispensable d’ avoir un chef et le meilleur me parait etienne, faudra ausi organiser des stands formations

5_personnellement je pense que les partis sont sectaire et ont privés les citoyens du pouvoir avant de le perdre eux-même mais il faut bien mettre de l’ eau dans notre vin pour réaliser nos projets

Mais une loi instituant le RIP (et aussi une loi instituant la prise en compte du vote blanc) a déjà été présentée à l'assemblée. Et acceptée d'ailleurs. Il ne reste plus qu'à réveiller le sénat.
pas du tout,
ah ? http://www.assemblee-nationale.fr/13/ta/ta0815.asp http://www.senat.fr/dossier-legislatif/ppl02-159.html
00000000000000000000000000000000000000000000000000000 Voilà le texte de l'artciel 11 qui n'a rien a voir avec un RIP/RIC et qui de plus n'est pas en vigueur puisuqe 4 ans après la loi organique n'a toujours pas été votée. UN SCANDALE voir www.ric-france.fr pour être informé sur les RIC.. ;)

Je reposte ici:
Les dernières législatives m’ont amenées aux constatations suivantes:
-au premier tour, les partis sont tellement nombreux qu’ils ont pour effet principal de diviser les minorités encore plus qu’elles ne le sont déjà.
-les programmes des partis minoritaires sont parfois à peu de chose près identiques, mais il est visiblement, pour d’obscures raisons, impossible pour eux de s’unir pour une même cause.
-au deuxième tour, ces minorités divisées se retrouvent obligées de choisir entre la peste ou le choléras.

Il me semble qu’il serait judicieux de trouver un sujet qui puisse unifier toutes ces minorités, pour finalement aboutir à une majorité. Après observation, je pense que la validité du vote blanc et le droit au référendum populaire constituent ce sujet fédérateur.

L’idée est donc de créer un parti sans étiquette qui serait candidat aux prochaines législatives, et qui défende ce sujet, et seulement CE sujet. Aucun programme, aucun candidat particulier(je ne sais pas si c’est possible…), aucune étiquette. Un seul but commun: récupérer la validité du vote blanc, et la possibilité du référendum populaire (comme en Suisse).

Si la démarche fonctionne et que nous sommes élus (on peut y croire!^^), il sera ensuite possible d’inscrire cela dans la constitution, et de relancer ensuite d’autres législatives, avec cette fois de varis candidats, mais aussi de vrais électeurs! Ce sera sans doute le Bronx, mais au moins nous aurons des armes valides pour défendre nos droits. Il faut bien commencer par quelque chose, et c’est pour l’instant le seul début possible à une vrai démocratie que j’entrevois. Nous avons cinq ans devant nous, d’ici là le plan C sera peut-être encore un peu plus au point, et qui sait, le tirage au sort et une nouvelle constitution auront leur place…
J’insiste sur l’aspect « aucun programme », car si on se lance dans le moindre projet, il y aura forcément divergence. Pour qu’un plus grand nombre s’y reconnaisse, il faut que ce soit simple et clair. Aucune place à la polémique. Sans ça, ça ne fonctionnera pas.