je suis désolé de vous dire que la moral découle de la spiritualité que d'ignoré ce fait nous amen a une forme de matérialisme sans moral mon idée serais qu'une représentation des divers courant de pensé puisse être représenté tout est baser sur la confiance rien de se que l'on fait n'est fixe ce garde fou permettra d'avoir l'opinion des dignitaire de la foi cette foi qui nous fait vouloir la liberté la démocratie le sens même du bien et du mal passe par la foi ignoré cela c'est se condamné a erré constamment ver le n'importe quoiAzor, permettez-moi de vous dire que vous êtes dans l'erreur la plus profonde.
Les croyances ne se discutent pas, on n’y peut rien. Mais justement, l’affaire propre de la religion, c’est la croyance, pas la morale.
La morale est l’ensemble des règles que nous avons conscience de devoir appliquer dans nos rapports avec les autres êtres humains.
Quand elle va avec une réflexion personnelle fondée sur la certitude que la réalité tout entière de notre existence est physique et se déroule dans un laps de temps très court (ce que vous appelez « matérialisme »), qu’aucun subterfuge ne nous permettra d’abolir les conséquences dommageables de nos actes conscients, et que nous tâchons de nous conduire en conséquence : alors on peut parler de morale.
Quand la « morale » est fondée sur la peur ou l’espoir d’éternité inspirés par la religion, au fond de cette morale-là il y a seulement ou avant tout la considération de notre intérêt personnel. Peut-on alors vraiment parler de morale (sauf que très souvent, c’est heureux, la voix de la vraie morale arrive à percer à côté de la voix de la religion) ?
Pour preuve : quelles atrocités morales et autres, les religions n’ont-elle pas favorisées, tolérées ou exploitées à un moment ou un autre de l’histoire, jusqu’à notre temps compris ?
Notre désir de liberté et de démocratie n’a rien à voir avec la foi : voyez l’histoire et les évènements présents. Nos institutions politiques se suffisent à elles-mêmes : elles ne doivent pas se soucier des croyances, sauf pour en réprimer les conséquences socialement néfastes.
Les seuls « dignitaires » sont les êtres humains (chacun d’eux). JR