FRIGOURET VEUT ÈTRE BANQUIER

. Je prend le mot mutuel avec le contenu historique du mouvement mutualiste, et donc avec l'idée de réciprocité.
Le mot de réciprocité ne construit pas un mécanisme. Et vous savez bien que le mouvement mutualiste du CNR qui existait en France est complètement détricoté actuellement justement par les progrès de la liberté de contracter,

Pour la finance internationale la liberté de contracter existe déjà. Que vous le vouliez ou non, le système Madoff, s’inscrivait bien dans ce cadre.

Système Madoff, qui n’est d’ailleurs qu’une variante rudimentaire du cadre Ponzi général qu’on nous impose, dans lequel la logique est de faire tendre tous les salaires vers 0, pour engraisser les actionnaires qui ne produisent rien, les stock-options des cadres financiers, juridiques, et techniques de l’appareil industriel et financier nécessaire (les multinationales) et les pots de vin des politiques à leur solde (qui sont indispensables car ils maîtrisent les forces coercitives et les médias qui maintiennent tant bien que mal cet ordre injuste), condamné par sa logique de déséquilibre à se perpétuer par des évènements périodiques de plus en plus violents.

  • Les crises du XIXème siècle ont été surmontées par le pillage colonial

  • La crise de 1929, pendant de la crise actuelle, prétendument résolue par le new deal de Roosevelt, l’a été en réalité par la volonté des anglosaxons (et des français) de déclencher la seconde guerre mondiale, qui leur a permis de détruire systématiquement l’Europe civile (hors leurs intérêts dans les centres de production y compris en Allemgne) via leurs politique de bombardement systématique « tapis de bombe », qui a permis le boom de reconstruction et son américanisation via le plan Marshall. Si les procès de Nuremberg (décidés par les vainqueurs en octobre 1943 à Moscou dès que la guerre a pu être considérée comme gagnée par eux), avaient jugé équitablement les « crimes de guerre, crimes contre l’humanité et crimes contre la paix », il aurait aussi fallu considérer aussi ceux permis par cette politique.

-L’actuelle trouvera donc normalement sa résolution par des monceaux de ruines à son échelle. Chacun peut se faireune idée des contours qu’elle prendra par les indices qui s’amoncellent.

La crise de 1929. Justement je lis qu’en 1928 le mouvement mutueliste est en pleine expansion avec 20200 sociétés mutuelles regroupant 5300000 adhérents pratiquant un socialisme libre.
C’est bien le monopole monetaire étatique qui maintient les populations sous le joug , alors cessez d’associer les effets de l’etatisme avec la liberté contractuelle.
Les traités commerciaux établissent des monopoles et des privilèges, le grand commerce s’accommode a merveille des tyranies .

Je constate une conséquence de la remise a zéro du capital monetaire au terme de chaque exercisse, et donc du revenu de base.
Cette conséquence est la conception du prêt de monnaie.
Le possesseur de capital monetaire sachant que la monnaie a perdu sa fonction de réserve de valeur va chercher a thésauriser autrement. Il peut par exemple prêter sa monnaie , ce qui lui permet de différer sur la durée du prêt la jouissance de son capital monetaire. Le prêt est sans risque, l’emprunteur pouvant gager son revenu de base, donc l’usure injustifiée. Le préteur et l’emprunteur sont sur un pied d’égalité.

Si j’aplique a l’Euro.
Il y a une masse monetaire, la M3 , qui correspond a un montant de 33000€ ( je pose 30000 par citoyens. Supposons que ces 30000€ soin le crédit mutuel.
Je limite la capitalisation monetaire a 45000€ et donc j’obtiens une capitalisation minimum ( le revenu de base) de 15000€. Ainsi au terme de chaque exercisse le capital monetaire de chaque utilisateur d’euro est compris dans cette fourchette.

A la différence du système de monnaie fondante il n’y a pas d’atteinte a la propriété. Simplement la monnaie est un outil limité d’épargne, celle ci devra se convertir en actifs.

Cela économiserai tout les systèmes de redistribution existants, secu, retraite, CAF, chômage ect, qui consomment en frais de fonctionnement une parti non négligeable des allocations