Le conseil fédéral conseille mais ne gouverne pas car il peut être contré.
Pour le reste, depuis une ou deux pages, il y a une confusion entre non exemple et contre exemple. La suite est stérile.
Le conseil fédéral conseille mais ne gouverne pas car il peut être contré.
Pour le reste, depuis une ou deux pages, il y a une confusion entre non exemple et contre exemple. La suite est stérile.
Le Conseil fédédéral suisse est le gouvernement suisse
@Ana :
Je vous renvoie à la constitution suisse que vous trouverez sous http://www.admin.ch/ch/f/as/1999/2556.pdf.
En voici quelques extraits concernant le Conseil fédéral :
[i]Art. 174 Rôle du Conseil fédéral
Le Conseil fédéral est l’autorité directoriale et exécutive suprême de la Confédération.
Art. 178 Administration fédérale
1 Le Conseil fédéral dirige l’administration fédérale. Il assure l’organisation rationnelle de celle-ci et veille à la bonne exécution des tâches qui lui sont confiées.
Art. 180 Politique gouvernementale
1 Le Conseil fédéral détermine les buts et les moyens de sa politique gouvernementale. Il planifie et coordonne les activités de l’Etat.
2 Il renseigne le public sur son activité en temps utile et de manière détaillée, dans la mesure où aucun intérêt public ou privé prépondérant ne s’y oppose.
Art. 181 Droit d’initiative
Le Conseil fédéral soumet à l’Assemblée fédérale des projets relatifs aux actes de celle-ci.
Art. 182 Législation et mise en oeuvre
1 Le Conseil fédéral édicte des règles de droit sous la forme d’une ordonnance, dans la mesure où la Constitution ou la loi l’y autorisent.
2 Il veille à la mise en oeuvre de la législation, des arrêtés de l’Assemblée fédérale et des jugements rendus par les autorités judiciaires fédérales.
Art. 183 Finances
1 Le Conseil fédéral élabore le plan financier ainsi que le projet du budget et établit le compte d’Etat.
2 Il veille à une gestion financière correcte.
Art. 184 Relations avec l’étranger
1 Le Conseil fédéral est chargé des affaires étrangères sous réserve des droits de participation de l’Assemblée fédérale; il représente la Suisse à l’étranger.
2 Il signe les traités et les ratifie. Il les soumet à l’approbation de l’Assemblée fédérale.
3 Lorsque la sauvegarde des intérêts du pays l’exige, le Conseil fédéral peut adopter les ordonnances et prendre les décisions nécessaires. Les ordonnances doivent être limitées dans le temps.
Art. 185 Sécurité extérieure et sécurité intérieure
1 Le Conseil fédéral prend des mesures pour préserver la sécurité extérieure, l’indépendance et la neutralité de la Suisse.
2 Il prend des mesures pour préserver la sécurité intérieure.
3 Il peut s’appuyer directement sur le présent article pour édicter des ordonnances et prendre des décisions, en vue de parer à des troubles existants ou imminents menaçant gravement l’ordre public, la sécurité extérieure ou la sécurité intérieure. Ces ordonnances doivent être limitées dans le temps.
4 Dans les cas d’urgence, il peut lever des troupes. S’il met sur pied plus de 4000 militaires pour le service actif ou que cet engagement doive durer plus de trois semaines, l’Assemblée fédérale doit être convoquée sans délai.[/i]
Vous aurez remarqué (voir articles 184-3 et 185-3) que le Conseil fédéral a même des pouvoirs dictatoriaux soumis à moins de contrôles que le fameux article 16 de notre constitution (chez nous, quand l’article 16 est mis en vigueur, le Parlement se réunit de droit et le Conseil constitutionnel est consulté concernant les mesures prises).
Après ça, maintenez-vous que « le Conseil fédéral suisse conseille mais ne gouverne pas »?
Encore un exemple de l’idée fantasmagorique que les Français se font parfois de la démocratie suisse (je ne dis pas que le système suisse soit mauvais). JR
Le conseil fédéral est quand même limité dans ses compétences par les autonomies cantonales.
Oui, mais de là à dire qu’il ne gouverne pas…
En France aussi , le Gouvernement est limité par les pouvoirs des communes, des départements et des régions, et aussi par la présidence de la République (un peu), par le Parlement, par le Conseil constitutionnel, par les tribunaux (y compris les tribunaux administratifs)…
Il y a moins de différence qu’on le croie en France entre un canton suisse et une région française. Ce n’est pas parce que le canton suisse adopte une disposition constitutionnelle là où la région française adopte un arrêté que la différence serait immense : c’est le contenu de la décision qu’il faut voir, même s’il est sûr qu’à l’heure actuelle la Suisse est plus décentralisée que la France. JR
Quand même il me semble qu’il y a une différence substantielle entre un arrêté régional et une loi cantonale.
Contre-feu ou pas, pouvez-vous expliquer en quoi mes arguments du message 97 ne sont pas scientifiques ?Non, je suppose ? JR
Pour moi, et je suppose pour plusieurs autres intervenants, je n’ai pas trouvé d’expérience susceptible de prouver la fausseté de votre assertion, elle semble donc non réfutable, donc non scientifique.
Ceci ne signifie aucunement qu’elle est sans valeur, comme les philosophes de Kant à Popper y ont insisté. Il s’agit simplement d’une opinion qui a pour vous la valeur que vous lui attribuez et pour moi la valeur que je lui attribue, qui peut être vraie ou fausse, l’un et l’autre ou ni l’un ni l’autre.
Je dis que sans le vote Internet la démocratie directe se limitera à très peu de chose et que par conséquent on ne doit rejeter cette forme de vote sans de vraies raisons scientifiques, après avoir fait tous les tests nécessaires et être arrivé à la conclusion que les résultats de vote ainsi obtenus ne se prêtent pas en permanence à vérification par chaque électeur.Ce que plusieurs intervenants ici disent c'est qu'ils sont arrivés à la conclusion, en leur âme et conscience, soit sur la base de leurs connaissances informatiques (y compris le fonctionnement d'Internet) "que les résultats de vote ainsi obtenus ne se prêtent pas en permanence à vérification par chaque électeur" sauf dans le cas d'abandon de l'anonymat, soit sur la base de leur expérience en psychologie humaine que les votes ainsi obtenus risquent, avec une probabilité peut être faible, mais une gravité potentiellement élevée, de ne pas traduire les voeux des votants.
[b]Possibilité de préserver l'anonymat lors du vote par Internet[/b]@thierryb (votre 80) :
Sur la question en objet précisément, avez-vous vu les documents suivants, qui me paraissent essentiels :
– le rapport technique du gouvernement suisse sur le vote par Internet(Fedlex – 31 mai 2006) ?
– le rapport technique du canton de Genève sur son expérience du vote par Internet (qui conclut à la possibilité de préserver l’anonymat et décrit en détail les sauvegardes mises en œuvre (http://www.ge.ch/evoting/a_coeur_ouvert_a.asp) ?
– le récent rapport, non moins technique, de l’Université du Michigan démolissant le projet pilote du District de Columbia (y compris en ce qui concerne la préservation de l’anonymat), signalé par NingúnOtro (https://jhalderm.com/pub/papers/dcvoting-fc12.pdf – février 2012) ?
Dans l’affirmative, ces documents sont-ils de nature à modifier vos conclusions antérieures, notamment celle sur l’impossibilité de l’anonymat ?
Pour ma part, je soupçonne que le rapport de l’Université du Michigan ne remet pas en cause les procédures utilisées par Genève (mais ce n’est qu’un avis d’ignorant de l’informatique : merci d’avance pour les explications). JR
Fedlex – 31 mai 2006 :
: "Le fossé – que l’on appelle communément «fracture numérique» – qui sépare les personnes qui ont accès à Internet de celles qui n’y ont pas accès pourrait accentuer les inégalités en termes de participation à la vie politique."Très juste, d'où l'importance d'un autre débat sur un autre fil : Il faudrait multiplier à mon sens les FAI associatifs. En Gaules, il existe encore un petit village qui résiste : L'association FDN présidée par Benjamin Bayart (regarder ses videos sur le Minitel 2.0)
: "Les risques d’abus, de nature technique,nécessitent un contrôle et un développement permanents des mesures de sécurité. Un abus – réel ou présumé – ou une panne technique serait une source d’inquiétude qui saperait la confiance du corps électoral dans la démocratie directe."Ceci est justifié pour un système fonctionnant dans un mode centralisé. Non justifié si le système est fortement distribué, Open Source, et dont la notion même d'anonymat n'existe pas. Lorsqu'il n'y a rien à cacher, en général, il n'y a rien à p i r a t e r, ce qui à mon sens, simplifie grandement les problèmes de sécurité.
: (titre du paragraphe) : "coûts du vote électronique"Je ne suis pas compétent sur cette question. Personnellement, je trouve que cela ne veut rien dire. Dans quelle monnaie ? L'euro, la monnaie suisse ? Ou bien mieux, Etienne Chouard parle de créer une monnaie. Il me semble qu'un petit village de France a déjà créé sa propre monnaie. Je conclu donc que le coût n'est pas un problème car d'après Etienne Chouard, il est facile de créer de la monnaie. A court-circuiter le système, je pense également qu'il faut le faire à la base, à un niveau cantonal (dans les grandes villes, par quartier, là ou tout le monde se connait, ou presque). Bref pas de compétence à mon niveau sur ce point.
: (2.4) : "Pour garantir le secret du vote, les trois cantons pilotes ont rendu anonymes toutes les données se rapportant à des personnes (nom, adresse, date de naissance, etc.) après l’établissement des cartes de légitimation. Pour savoir si un électeur donné avait déjà fait usage de son droit de vote, il suffisait d’effectuer une vérification dans le registre des électeurs à l’aide du numéro de la carte de légitimation. Il était dès lors impossible de voter deux fois. Enfin, il était tout aussi impossible d’établir l’identité d’une personne avant, pendant et après les scrutins."Impossible ? J'en doute fort ! Le Penser serait présomptueux.[b] Aucun système, quel qu'il soit, n'est inviolable[/b]. La sécurité absolue décrite ici (impossible d’établir l’identité d’une personne) n'existe donc pas. Encore une fois, la meilleure sécurité qui soit est quand celle-ci devient caduque, inutile. Ce qui est le cas dans un système Open Source largement distribué dont les données n'ont pas de secret pour personne (CQFD mes posts précédents "Le pouvoir est de détenir des informations que les autres n'ont pas").
: "Le préposé fédéral à la protection des données (PFPD) voit dans le vote électronique une application d’une très grande complexité."Evidemment. je doute fort qu'il aurait pu voir autre chose qu'une grande complexité. Il faut qu'il sorte de son cercle pour essayer de voir autrement. (Je suis de tout coeur (compassion) avec lui dans son impossible problématique.)
Cher Jacques, permettez-moi dans rester là sur cet aspect fondamental à mon sens. Le texte est long … :-p
J’espère que ces contre-exemples (Un seul aurait suffit) suffisent à démontrer l’hypothèse de départ, à savoir que le vote ne doit pas être anonyme pour disposer d’une implémentation correcte de ce système de vote. Il me semble que cette hypothèse est très solide et qu’il serait très difficile de lui trouver un contre-exemple. Pour la simple raison que sa logique rejoint celle de véritable démocratie, responsabilité envers autrui … Tout cela va dans le même sens et dans le sens strictement contraire de ce qui se fait à l’heure actuelle (Surement un indice pour nous, signifiant que nous sommes dans la bonne direction ! (humour) )
J’aimerai faire une petite remarque personnelle avant de voir le document suivant. A mon avis, ceux qui voient (moi y compris, je me pose la question à chaque fois) à un niveau technique, une forte complexité dans la résolution d’un problème, est le signe qu’il faut revoir sa copie et travailler à réduire cette complexité au maximum, quitte à sortir du cercle. Les choses simples fonctionnent toujours bien. Leur évolutivité, leur maintenabilité et leur stabilité sont assurées. Ce qui n’a jamais été le cas des choses complexes. Un exemple simple de chose complexe qui ne fonctionne toujours pas bien ? Mon propre esprit ! Niveau complexité de l’implémentation, difficile de faire mieux … Certes, il est évolutif, mais à quel prix !
http://www.ge.ch/evoting/a_coeur_ouvert_a.asp après lecture :
Mon dieu, de l’asp ! quelle horreur ! Bref.
: "Comment garantit-on le secret du vote ? "Ah oui ! Comment donc, saperlipopette !?
quelques mots plus loin :
« C’est ce que cet article entend présenter, d’une manière à la fois aussi complète et aussi compréhensible que possible. Il s’adresse à un public technique ayant des connaissances de base en cryptographie. »
: "La sécurité du système genevois de vote par internet s'appuie notamment sur une démarche de sécurité en profondeur, c'est-à-dire sur la redondance des mesures protectrices et l'accumulation d'obstacles sur le chemin d'un éventuel attaquant."Ou de plusieurs et en fait, les ptits gars transgresseurs que sont les p i r a t e s, quand le cryptage est fort et les barrières nombreuses, il est conseillé de multiplier les actions de décryptage et autant le faire bien : Massivement en parallèle pour obtenir un temps de réussite relativement court ! Je trouve ces Messieurs présomptueux car il sous-estime leur ennemi. :-)
( Connais ton ennemi comme toi même sinon, tu compteras tes combats comme des défaites : Sun-Tzu, l’art de la guerre ! )
: "Celle-ci recourt à une série de secrets partagés : nous plaçons au coeur du système, dans le registre anonymisé des électeurs, des informations que seuls l'électeur et l'Etat connaissent."Encore une Anerie ! Le coeur est au singulier, alors qu'il devrait être multiple (système distribué). "que seuls...connaissent" ??? Que neni mon bon seigneur. Que Diable !!! POINT DE SECRET ! Ce système de vote Open Source doit être OPEN, tant au niveau de son code que de ces données.
https://jhalderm.com/pub/papers/dcvoting-fc12.pdf – février 2012 : Même combat. Parefeu ? Pfffffff, un obstacle ne posant pas de problème. Un obstacle est contourné ou brisé, tôt ou tard.
Et je m’arrêterai là, car ce genre d’ânerie vont me gâcher mon après-midi.
Allons-y gaiement : PAS DE SECRET !
Et de plus, les secrets cités aux coeur du système ne peuvent être préservés. Ceci est impossible. Aucun système, quel qu’il soit, n’est inviolable
Donc, vu que si je continue la lecture, je vais me répéter, ce qui n’est pas bien. Je suggère donc que ces messieurs revoient leur copie, et qu’il réfléchisse à un système de vote Open Source, distribué (non centralisé), ce qui implique de multiples coeurs communicants et se contrôlant mutuellement dans une philosophie ouverte oû le secret n’est pas envisageable.
Pas de panique, des systèmes distribués, dans d’autres domaines, dont l’objectif est atteint avec succès, existent. Un exemple qui me vient de suite à l’esprit :
Le système de gestion de versions GIT, qui contrairement à un autre système connu (subversion), fonctionne dans un mode distribué et a parfaitement rempli son objectif : Produire un noyau de système d’exploitation stable, évolutif : LINUX !
Soit dit en passant, LINUX et Internet sont nés en même temps, aux alentours des années 1990. L’un n’aurait pas pu naitre sans l’autre. Ce sont deux facettes d’une seule et même chose. Question fondamentale : Comment cela a t’il bien pu aussi bien fonctionner ?
Toujours le même constat : Philosophie de l’Open Source implique que la connaissance ne vaut que si elle est partagée.
Petit troll : Il est tout à fait logique de conclure que Internet n’a pas été conçu avec comme base un système windows ou à partir d’un autre système dont le source est fermé (Fermé ?, oui fermé, et par conséquent, SECRET ! ) Je doute fort (ma main a couper car sur ce coup là, le risque est faible) d’ailleurs pour finir ce petit troll, que cela aurait fonctionné tout aussi bien
Un groupe de personne (je n’ai pas les compétences pour donner un coup de main) sachant parfaitement bien décrire le fonctionnement d’une démocratie véritable passant par la base (le canton) jusqu’au niveau national, en s’inspirant du système démocratique Suisse et en le rendant fortement démocratique grâce à la connaissance du système Athénien, serait à même de produire un cahier des charges solide intégrant le système de vote dont nous parlons ici.
Une seule condition ! : Pas de secret Messieurs, ne reproduisons pas les mêmes erreurs que notre cible et notre ennemi commun : Le système actuel.
Trop de secrets, trop de pouvoirs en ce monde, mes amis.
Trop de films débiles à l’américaine également ("Spiderman 1 "). Je cite : « De grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités. »
Et bien justement NON ! Il ne faut PAS que ce soit ainsi.
C’est l’essence même d’un véritable système démocratique comme décrit par Etienne Chouard et les Athéniens dont il fait référence à juste titre.
Un pouvoir limité en terme de grandeur et en terme de temps.
Un système de vote Open Source fortement distribué ne contenant pas en son coeur des données secrètes (anonymat) calque parfaitement à l’essence de la démocratie, la véritable dont il est question dans ce forum.
Il est beaucoup question ici de sécurité. Je n’aime pas ce mot. Son sens est limité et surtout incomplet. Je préfère parler de risque, le facteur risque. Et c’est bien de cela en fait qu’il s’agit. Là ou le risque est fort, la sécurité doit être adapter en conséquence. En gardant à l’esprit, que le sécurité n’est qu’un horizon, et je vous l’a refait une dernière fois (pas bien, désolé) : Car aucun système n’est inviolable. Le fait donc de réduire à zéro le risque (pas de secret), la sécurité peut être mise à zéro ou presque (pour les pessimistes).
En ce qui concerne, le système de vote dont il est question ici, la notion la plus importante n’est pas la sécurité (pas lieu d’être, car pas de secret), mais l’intégrité du système, et cette dernière doit être forte par dessus le marché.
On rend un système intègre en passant par une distributivité de son fonctionnement et par des systèmes intrinsèques de contrôle.
Dans les base de données relationnelles dont vous avez déjà entendu les noms, Postgresql, mySQL, etc., ces systèmes de contrôle se nomment clés étrangères, constraint, lock, etc, etc).
Nous ne partons donc pas de zéro, les outils sont là, en place. Des outils Open Source, cela va de soit, adaptables, modulables, évolutifs, de part leur nature.
Il est étrange (comme c’est étrange ?), que le système de démocratie athénienne possède les mêmes caractéristiques. Une sorte de transitivité organisationnelle et fonctionnelle en ses coeurs respectifs.
Dans l'affirmative, ces documents sont-ils de nature à modifier vos conclusions antérieures, notamment celle sur l'impossibilité de l'anonymat ?vous l'avez compris. Non. L'anonymat est la contrainte à dissoudre. Si pas d'anonymat dans le système, alors nous pouvons commencer à oeuvrer. Il faudra vous mettre tous d'accord au préalable, petit peuple de ce forum ... ;-) Le reste n'est qu'étude, organisation, contrôle, et en dernier lieu, implémentation.
bien amicalement à tous,
[corrections syntaxiques et grammaticales]
[Additif pour cause d’oubli en réponse à Je cites « Celle-ci recourt à une série de secrets partagés » et quote finale de JR, de ce post]
[correction : Je cite « source externe » : en citation]
@Jacques : de l’art de transformer une simple suggestion en conflit majeur. C’est juste gavant à la longue.
Le peuple suisse a choisi l’expression « conseil fédéral ». C’est à respecter. Point barre.
Vous avez bien sûr raison. Je me plaçais dans le contexte de l'exigence de JR, qui n'a pas tort : tant que la majorité des gens accepteront la vision du monde des politiciens qui ont un cerveau unidimensionnel (gauche<->droite), voire dichotomique (si tu n'es pas avec moi tu es contre moi), il y aura des sujets où le vote à main levée sera dangereux.Intéressant votre pensée, cher Landerec. A un niveau similaire, cela se retrouve d'ailleurs au sein même de notre langage. Nous disons BLEU ou JAUNE avec ce petit rien de mauvais : Nous pensons de suite par instinct OU Exclusif lors de notre choix : bleu OU jaune mais pas les deux à la fois.
(Le ou inclusif [ OR] est vrai si les deux membres sont vrais, ce qui n’est pas le cas du ou exclusif)
Exemple de OU inclusif : un circuit électrique avec 2 lampes branchées en dérivation (toutes les deux connectées à la pile)
Exemple de OU exclusif [XOR] : le circuit du « va et vient » de votre salon. Qui est en l’occurrence, la substantifiquale logique moelle de nos ordinateurs.
D’où la petite phrase en guise de dessert : « Il est bien plus difficile de désapprendre que d’apprendre »
Dans l’attente de votre problématique d’anonymat …
@Jacques : de l'art de transformer une simple suggestion en conflit majeur. C'est juste gavant à la longue. Le peuple suisse a choisi l'expression "conseil fédéral". C'est à respecter. Point barre.C'est plus que clair. Le peuple est à respecter :-)
Dans le message 15600 thierryb a cité ainsi un extrait de rapport :
Je cite : "Comment garantit-on le secret du vote ? " Ah oui ! Comment donc, saperlipopette !?
Dans le message 15600 thierryb a cité ainsi un extrait de rapport :
Je cites : « Celle-ci recourt à une série de secrets partagés : nous plaçons au coeur du système, dans le registre anonymisé des électeurs, des informations que seuls l’électeur et l’Etat connaissent. »
Que neni mon cher landerec, ce n’est pas moi qui écris ces idioties mais c’est ce que j’ai lu dans les 2 rapports cités par Jacques Roman (#85)
quand on spécifie : « je cite », la source est externe !
Il vous faut donc relire mon post #107. Je répond, point par point aux rapports de ces messieurs. Quand je dis relire, ce n’est pas relire en diagonal mon cher landerec. Chaque mot a son importance.
Si vous avez bien lu mon post #107 alors modifiez vos quotes dans votre message #111, cela porte à confusion.
remplace « thierryb a écrit: » par « Extrait du rapport : »
Merci
[Citations du Message #111 corrigées. Parfait ! Merci à vous]
Serait il possible dans ce fil de créer un vote : « Pour ou contre l’anonymat du vote après avoir lu ce fil ». Quand pensez-vous ?
Personnellement je suis contre l’anonymat (Cf: #107)
Serait il possible dans ce fil de créer un vote : "Pour ou contre l'anonymat du vote après avoir lu ce fil".Oui
Quand pensez-vous ?Quand j'y pense.
Personnellement je suis contre l'anonymat (Cf: #107)Personnellement ça dépend du contexte et du sujet. Pour voter communiste aux États Unis sous Mac Carthy (ou même en Alabama cette année) je préfère l'anonymat. Je ne fais pas confiance à mes concitoyens, ni à moi même, pour résister aux pressions.
D’où mes conclusions précédentes : non au vote électronique (internet ou autre) si le sujet (du vote - et pas seulement celui auquel je suis en train de répondre) est tel que la probabilité ou la gravité d’une compromission (au sens large) peut être crainte. Oui dans le cas contraire (cas où, par ailleurs, l’anonymat n’est ni nécessaire ni même utile), par exemple voter une loi sur la responsabilité des propriétaires des chats qui viennent déterrer les patates dans le potager du voisin.
Pour résumer, l’anonymat me paraît inutile pour le vote internet open source (ou autre), dans la mesure où ce dernier ne devrait s’appliquer qu’à des consultations sans conséquences, comme c’est d’ailleurs déjà le cas sur bien des sites perso ou commerciaux.
Le sujet de ce fil est système de vote open source. L’anonymat dont je parle est en rapport avec le sujet. Vous avez raison de préciser que cela dépend du contexte et du sujet. Utile pour un nouveau lecteur de ce fil.
J’en profite pour préciser également à tous, il est bien de rester dans le sujet de ce fil et de ne point s’en écarter. Merci.
Très cher thierryb, vous n'avez pas été sans remarquer que la citation que je faisais citait votre "Je cite", ni que le tag {quote} ne me permet pas de modifier le "Toto a écrit :" inséré automatiquement.Si vous voulez que je précise que mes remarques ne font qu’insister sur la pertinence des vôtres, je le fais volontiers ici.
<blockquote>blablabla ...</blockquote>
vous pouvez donc modifier comme cela :
<blockquote>blablabla ...</blockquote>
ce qui donne :
blablabla ...Merci à vous de modifier pour éviter les confusions possibles. Bien à vous.
Pour éviter les confusions possibles il aurait été encore mieux que vous fassiez vos citations entre des balises quote.Vous avez raison. Je vais corriger. Remarque à tous : Attention de ne pas modifier vos messages en profondeur lorsque ceux-ci sont suivis d'autres messages. Ceci afin de ne pas briser la cohérence des posts (Intégrité de la discussion).
Parfait ! :)Attention de ne pas modifier vos messages en profondeur lorsque ceux-ci sont suivis d'autres messages. Ceci afin de ne pas briser la cohérence des posts (Intégrité de la discussion).Quand le message 1 est suivi d'un message 2 qui dit "Vous écrivez des conneries", que les corrections du message 1 consistent à supprimer ces conneries, il suffit de cliquer sur le lien "supprimer" du message 2 pour retrouver la cohérence des posts.
D'où mes conclusions précédentes : non au vote électronique (internet ou autre) si le sujet (du vote - et pas seulement celui auquel je suis en train de répondre) est tel que la probabilité ou la gravité d'une compromission (au sens large) peut être crainte. Oui dans le cas contraire (cas où, par ailleurs, l'anonymat n'est ni nécessaire ni même utile), par exemple voter une loi sur la responsabilité des propriétaires des chats qui viennent déterrer les patates dans le potager du voisin.Pour résumer, l’anonymat me paraît inutile pour le vote internet open source (ou autre), dans la mesure où ce dernier ne devrait s’appliquer qu’à des consultations sans conséquences, comme c’est d’ailleurs déjà le cas sur bien des sites perso ou commerciaux.
Je ne pense pas que voter une loi, même celle-ci, soit sans conséquence. Il y a toujours une conséquence, plus ou moins grave. Une loi, c’est toujours une chose sérieuse. Pour nos chers voisins d’une grande part et pour nous-même d’autre part …
Remarque à tous : Attention de ne pas modifier vos messages en profondeur lorsque ceux-ci sont suivis d'autres messages. Ceci afin de ne pas briser la cohérence des posts (Intégrité de la discussion).Tout à fait d'accord.
Pour ma part, je m’autorise à modifier mes messages sur le fond tant qu’il n’y a pas eu de réponse. Je corrige parfois longtemps après des coquilles ou fautes d’orthographe, parce que l’écrit reste et que c’est dans l’intérêt du site de présenter des textes aussi corrects que possible ; pour la même raison. si je repère une coquille dans un citation. je m’autorise à la corriger parce que j’estime que ce n’était pas l’intention de l’auteur de laisser une coquille. Je ne fais pas de modification de fond s’il y a déjà eu des réactions, ou alors (c’est rare) je marque ces modifications en rouge, avec la date le cas échéant. JR