Je n’ai strictement rien compris à ce que tu racontes.
Quand je dis que la question des inégalités est centrale, c’est parce que ce sont elles qui sont à l’origine de la plupart des problèmes qui nous touchent, en tout cas en France, et c’est moi qui le dis, je ne prétends pas que tous les français en ont conscience et partagent cette idée.
Je ne vois en tout cas pas le rapport avec des classements ni avec ce que pensent les étrangers de notre pays ou du tiens.
Je n'ai strictement rien compris à ce que tu racontes. Quand je dis que la question des inégalités est centrale, c'est parce que ce sont elles qui sont à l'origine de la plupart des problèmes qui nous touchent, en tout cas en France, et c'est moi qui le dis, je ne prétends pas que tous les français en ont conscience et partagent cette idée. Je ne vois en tout cas pas le rapport avec des classements ni avec ce que pensent les étrangers de notre pays ou du tiens.C'est alambiqué ;) Je rebondi sur la remarque que tu m'avais fait concernant la morale et la démocratie.
Je ne sais pas pour la suisse, mais en tout cas pour la France, la question des inégalités est centrale ( économique / politique / sociale ) ce n'est pas qu'une question de morale.Et je te répond que [b]oui[/b] la résolution des inégalités est une question largement morale, le bien, le mal, les riches, les pauvres, etc. On est en plein dans la morale, rien de pragmatique. Que veut-on comme société? C'est la morale de chacun qui s'exprime dans la diversité (heureusement pas juste gauche ou droite mais plus subtile). Et il me semble qu'en France (corrige moi) les inégalités se résument un peu facilement au populisme, et ce de droite à gauche. Donc, ce que je souligne, c'est de trouver des techniques en dehors de la morale qui forgent le socle de la démocratie, qui limite la concentration du pouvoir, autorise la liberté d'expression et laisse le peuple voter et accéder à la politique sans avoir fait l'ENA.
Laisse moi te donner un exemple avec l’impôt et la justice: les recettes de l’état Fr doivent être ~2x plus grandes que celles de la Suisse (en proportion, http://tiny.cc/gxpr1), mais les profs Suisse des hautes écoles sont payés ~180’000’€ par année et peuvent valoriser des idées dans le privé. Sacré gymnastique .
Scuse moi, ce n’est pas un bon exemple de gymnastique démocratique qui traverse les courants idéologique et qui apporte une forme de consensus. L’exécutif de la ville de genève (ou du canton) est élu au suffrage universelle comme le législatif. Ce qu’il y a d’intéressant c’est que le peuple choisi ces N ministres en fonction de leurs compétences et l’on trouve des socialistes, de l’extrême gauche, le centre, les verts, la droite et l’extrême droite. Le peuple est correctement représenté et le but est d’éviter la majorité absolu d’un parti qui serait la cause d’une rupture avec l’ensemble de la population.
Je n'ai strictement rien compris à ce que tu racontes. Quand je dis que la question des inégalités est centrale, c'est parce que ce sont elles qui sont à l'origine de la plupart des problèmes qui nous touchent, en tout cas en France, et c'est moi qui le dis, je ne prétends pas que tous les français en ont conscience et partagent cette idée. Je ne vois en tout cas pas le rapport avec des classements ni avec ce que pensent les étrangers de notre pays ou du tiens.C'est alambiqué ;) Je rebondi sur la remarque que tu m'avais fait concernant la morale et la démocratie.Je ne sais pas pour la suisse, mais en tout cas pour la France, la question des inégalités est centrale ( économique / politique / sociale ) ce n'est pas qu'une question de morale.Et je te répond que [b]oui[/b] la résolution des inégalités est une question largement morale, le bien, le mal, les riches, les pauvres, etc. On est en plein dans la morale, rien de pragmatique. Que veut-on comme société? C'est la morale de chacun qui s'exprime dans la diversité (heureusement pas juste gauche ou droite mais plus subtile). Et il me semble qu'en France (corrige moi) les inégalités se résument un peu facilement au populisme, et ce de droite à gauche. Donc, ce que je souligne, c'est de trouver des techniques en dehors de la morale qui forgent le socle de la démocratie, qui limite la concentration du pouvoir, autorise la liberté d'expression et laisse le peuple voter et accéder à la politique sans avoir fait l'ENA.Laisse moi te donner un exemple avec l’impôt et la justice: les recettes de l’état Fr doivent être ~2x plus grandes que celles de la Suisse (en proportion, http://tiny.cc/gxpr1), mais les profs Suisse des hautes écoles sont payés ~180’000’€ par année et peuvent valoriser des idées dans le privé. Sacré gymnastique .
Scuse moi, ce n’est pas un bon exemple de gymnastique démocratique qui traverse les courants idéologique et qui apporte une forme de consensus. L’exécutif de la ville de genève (ou du canton) est élu au suffrage universelle comme le législatif. Ce qu’il y a d’intéressant c’est que le peuple choisi ces N ministres en fonction de leurs compétences et l’on trouve des socialistes, de l’extrême gauche, le centre, les verts, la droite et l’extrême droite. Le peuple est correctement représenté et le but est d’éviter la majorité absolu d’un parti qui serait la cause d’une rupture avec l’ensemble de la population.
On en a l’exemple au niveau grec ou italien, où le dirigeant de leur gouvernement a soit disant été nommé pour sa compétence technique, mais en réalité ce sont des hommes de mains de Goldman Sachs, ils portent clairement l’idéologie libérale, et ils vont mettre en application les idées ultra libérales pour satisfaire et protéger les intérêts des banques et d’une manière générale des marchés financiers, ces gens là ne représentent absolument pas le peuple, ils agissent contre les intérêts du peuple.
Ce genre d’aristocratie dérive en oligarchie des riches.
Si tu choisis tes ministres pour leurs compétences, alors ce n'est pas dutout une démocratie, c'est clairement une aristocratie, et le peuple n'est pas dutout représenté. C'est typiquement ce qu'on appelle une délégation de pouvoir, une fois élus comme ils n'ont pas de mandat politique ils peuvent faire ce qu'ils veulent, ce n'est pas dutout une représentation. Pour qu'il y ait représentation il faut que les élus appliquent la volonté de ceux qu'ils sont censés représenter, il faut qu'ils portent la volonté des citoyens plutôt que la leur ou celles de lobbys.On en a l’exemple au niveau grec ou italien, où le dirigeant de leur gouvernement a soit disant été nommé pour sa compétence technique, mais en réalité ce sont des hommes de mains de Goldman Sachs, ils portent clairement l’idéologie libérale, et ils vont mettre en application les idées ultra libérales pour satisfaire et protéger les intérêts des banques et d’une manière générale des marchés financiers, ces gens là ne représentent absolument pas le peuple, ils agissent contre les intérêts du peuple.
Ce genre d’aristocratie dérive en oligarchie des riches.
Je ne te parles pas d’idées, mais d’une démocratie voisine. Notre exécutif, les N ministres sont élu au suffrage universel, ça n’est pas une aristocratie mais une manière de mieux représenter la société. Je dis pas que vous devez copier la Suisse, heureusement non. Mais il y a de vrais avancées démocratiques, et on le constate dans l’économie, la formation, la paix sociale et la solidarité. Les allemands s’en sont inspirés avec une reforme démocratique, économique et sociale et ont largement gagnés au change. On a pleins de défauts, mais notre démocratie est une bonne source d’inspiration et on peut en débattre.
Démocratie suisse
ma semi-critiq