07 A-t-on besoin d'une constitution européenne?

Bonjour,

non, nous n’avons pas besoin d’une constitution européenne.

Non et non, absolument pas !

Pourquoi un nouveau papelard, non éprouvé, l’aventure totale, se faire bouffer par les anthropophages au passage et cribler de flèches au curare à chaque pas,

alors qu’il existe une loi fondamentale qui fait exactement ce travail en Allemagne avec moins de 90.000 caractères (non, je ne les ai pas comptés : mon éditeur de texte le fait, correctement, après que j’aie éliminé tout ce qui n’est pas pur texte).

À titre de comparaison : mon contrat de tiscali allemand, 51.000 caractères, la charte de l’onu de 1945 en anglais 56.000 caractères !

On veut compliquer les choses inutilement pour berner le peuple et réinventer la roue — mais avec 15 angles, pas ronde, ça serait trop beau !.

Proposition constructive :

La fédération allemande est renommée : nouveau nom = « fédération occidentale » (à la corbeille l’« Union européenne » biscornue!), on réaménage très légèrement la loi fondamentale bien rôdée ; et les régions françaises, espagnoles, les petits pays européens, eux, tels quels, viennent adhérer à la fédération existante comme nouveaux laender de la nouvelle fédération, comme l’a précédemment fait la République Démocratique Allemande, sans déployement d’efforts et de dépenses totalement superflues, et surtout sans nouveaux risques !

Et on a automatiquement un noyau dur !

Ça serait trop simple !

Ah bon ! C’est d’ailleurs vrai :wink:

Cordialement

[bgcolor=#FFFF99]Qu’on donne à nos enfants le droit vote ![/bgcolor]
Pas de discrimination d’âge,
pas de stade larvaire pour les humains !

non à la constitution européenne et à l’europe tout court

Comme la plupart des membres de ce forum je pense , j’ai été très choqué par la façon dont sarkozy a fait adopter la nouvelle constitution après le non des français .

J’ai toujours été anti européen .
Pour moi , c’est l’union européenne elle-même qui doit être remise en cause . Je pense que la coopération entre Etats européens peut se faire dans un autre cadre qu’une intégration remettant en cause chaque jour la souveraineté des Etats .

Déjà en 1992 j’étais contre le traité de Maastricht . Je n’ai pas pu voter pour cause de service militaire ( ce qui était d’ailleurs parfaitement anormal) et si j’ai bonne mémoire , le dit traité a été adopté à 50 et quelques pour cent des voix .

Je pense que fondamentalement la construction européenne ne correspond pas à la volonté du peuple français , mais nous avons toujours été mis devant le fait accompli

Ce qui ne me plaît pas c’est qu’aujourd’hui , ceux qui sont contre la constitution sont plus ou moins contraints de dire qu’il faut trouver une autre solution parce que çà ferait politiquement incorrect de dire qu’on est contre l’intégration européenne .

Eh bien moi je suis contre . La constitution française ne reconnaît toujours à ce jour que la souveraineté nationale même si celle-ci est bouffée par la constitution européenne .
Faisons en sorte que la souveraineté nationale soit respectée et pas mise de côté jusqu’à être vidée de son sens , ce qui est le cas depuis l’adoption forcée par Sarkozy .

J’essaye de militer de mon côté en ce sens avec le comité national de salut public :
http://republique.discutfree.com/
Avis à ceux qui sont intéressés .

je suis pour la construction européenne en ce qui me concerne

pour la simple et bonne raison qu’il me parait évident que de nombreux domaines dépassent de loin la seule portée de notre souveraineté nationale ( la mondialisation, les multinationales, la guerre etc … )

alors si nous voulons maitriser véritablement notre avenir nous n’avons pas d’autre choix que d’augmenter la portée de notre souveraineté …

Utilité d’une vraie constitution de l’Union européenne

À Europeendabord (2299) et à Max (4662), je voudrais adresser les remarques suivantes :

  1. Le peuple français a eu l’occasion de se prononcer à diverses reprises sur la construction européenne et il s’y est jusqu’à présent déclaré favorable (en démocratie, c’est la moitié plus un qui décide). Par contre il a rejeté des traités qui tentaient d’organiser cette construction d’une manière qui ne lui plaisait pas. Le peuple français est, semble-t-il, fondamentalement favorable à la construction européenne, contrairement à ce que qu’affirme Max ;

  2. C’est dans l’exercice de la souveraineté nationale tel que prévu par la constitution française (son article 3) que le peuple français, agissant directement ou par ses représentants, a donné son approbation à la construction européenne. La souveraineté nationale n’est donc pas en cause : par contre, il faut en préciser l’exercice et réserver au peuple lui-même certaines décisions : c’est un des objectifs de ce site ;

  3. En ce qui concerne la proposition d’Europeendabord (élargir à l’ensemble de l’UE la constitution allemande), elle est bien sûr inapplicable : d’abord pour la bonne raison que l’UE n’est pas une fédération et que selon toutes apparences la majorité des citoyens de l’UE ne veulent pas pour le moment d’une UE fédérale ; ensuite, parce que la constitution allemande, comme toute constitution nationale, est intransposable à une nouvelle fédération et aux autres États membres ;

  4. D’ailleurs, Europeendabord commet une erreur d’appréciation fondamentale. La constitution europénne, nous l’avons déjà depuis 1957 (traité de Rome) : elle est dans les traités des Communautés européennes et de l’UE tels qu’ils ont évolué depuis 50 ans.

Est-il nécessaire d’ajouter que personne ne sait exactement ce qu’il y a dans ces traités extrêmement longs et complexes, fruit à peu près exclusif d’ententes entre les gouvernements ?

Quand on dit qu’il faut une « constitution », on dit d’abord et avant tout qu’on veut mettre de l’ordre dans les textes en vigueur et réorganiser les pouvoirs de l’Union d’une manière démocratique : autrement dit, passer de l’étape intergouvernementale à l’étape citoyenne. Et pour cela, mettre les choses au clair : ce serait le but d’une bonne constitution de l’UE, qui séparerait les procédures des modalités opérationnelles et permettrait à des organes UE organisés démocratiquement de revoir et modifier si nécessaire toutes les clauses des traités existants.

Il ne s’agit pas d’ajouter un texte compliqué à d’autres textes compliqués, mais de remplacer les textes compliqués actuels par un seul texte aussi clair et lisible que possible par tous les citoyens européens : c’est, me semble-il, l’autre objectif de ce site.

Enfin, Europendabord indique que la constitution allemande ferait dans les 90 000 caractères. Le projet de « constitution de la Confédération européenne » CIPUNCE Rév. 14 en fait moins de 70 000 (avec les "blancs). Et sauf erreur le projet PLAN P également présenté sur notre site est encore plus court.

Cordialement. JR

En France, pourquoi aucun sondage n’a-t-il été organisé avec cette seule question :

" Etes-vous pour ou contre l’Union Européenne ? "

En France, pourquoi aucun sondage n’a-t-il été organisé avec cette seule question :

" Voulez-vous que la France reste ou sorte de l’Union Européenne ? "

C’est quand même bizarre.

Chaque semaine, des dizaines de sondages paraissent dans la presse concernant l’Union Européenne, mais JAMAIS AUCUN SONDAGE n’a posé ces deux questions fondamentales.

Pourquoi ?

Instit (4693).

Ce serait bizarre en effet, mais il y a eu des sondages sur le second sujet, comme on le voit en interrogeant Google. Un sondage organisé en 2006 a donné environ 15 % de résultats en faveur du retrait de la France. Évidemment, ça ne fait pas votre affaire.

Rien trouvé pour la première question, mais ça n’est pas surprenant : je ne crois pas qu’un institut de sondage sérieux poserait ce genre de question - en tout cas pas sous cette forme. JR

Instit… un sondage, cela s’organise pour confirmer ce qu’on veut, pas pour être désavoué. Tu as l’impression que les parlementaires sont contre l’intégration européenne ? Les propriétaires des journaux, hebdomadaires et chaines TV ?

Tu as l’argent et la volonté pour l’organiser toi-même, ce sondage ? Alors ne souhaite pas que quelqu’un d’autre dépense l’énergie quand tout ce que tu es prêt à faire toi-même est de le trouver bizarre et de t’en plaindre. Nous savons tous que cela ne coûte rien et n’engage à rien.

Le sondage aura lieu en France en juin 2009. En juin 2009, nous verrons le résultat

1- Résultat des abstentionnistes.

Rappel :

http://www.europarl.europa.eu/elections2004/ep-election/sites/fr/results1306/turnout_ep/graphical.html

2- Résultat des listes anti-Union Européenne.

Bien sur, Instit…

C’est d’ailleurs pourquoi… si on veut plutôt un certain résultat qu’un autre… il faudra travailler DUR au lieu de faire l’autruche. L’autruche, elle ne fait rien et elle s’accommode de tout en se plaignant éternellement… c’est la seule chose qui ne lui coute jamais trop d’effort.

Non, si nous voulons, nous FERONS le résultat!

Le perroquet, lui, parle toujours.

Et il n’en sort jamais rien de concret.

Le perroquet, lui, parle toujours.

Et il n’en sort jamais rien de concret.


Je prendrais cela d’une manière sportive, comme un compliment pour le perroquet… :wink:

Le concret, c’est quoi?

Un sondage de TNS-Sofres du 4 septembre 2008 pour le collectif « Civisme et démocratie » (CIDEM) indique que l’Europe n’est pas une réalité concrète pour une majorité de Français. La connaissance des droits européens serait également très incomplète.

Seuls 38 % des Français se perçoivent comme des citoyens de l’Europe, tandis que 62 % d’entre eux indiquent ne pas se sentir « citoyen de l’Europe ».

Ces chiffres sont issus d’un sondage TNS Sofres sur les Français et la citoyenneté européenne commandé par le CIDEM et présenté à l’occasion du Forum civique européen de La Rochelle - Paroles d’Européens - les 4, 5 et 6 septembre 2008.

http://www.latribune.fr/info/ID8FAF894A057EBD99C12574BB004C7D06

Il est de bon ton instit de donner votre propre avis et les raisons qui vous ont poussé à nous soumettre les résultats de ce sondage.

Chacun a ces propres raisons… On finance des sondages pour voir confirmer ce qu’on pense, et on ne publie souvent que ceux qui nous donnent raison.

De même, on ne fait la pub que de ceux qui nous intéressent.

Le lien donné par Instit est celui d’un court article interprétatif. Le sondage lui-même se trouve ici.

Et… dans le même sondage, seuls 21% des gens ne se sentent jamais européens.

Depuis que les instituts de sondage se font en plus racheter par des acteurs pas neutres, et que ceux qui publient les résultats ne le sont fréquemment pas non plus, je ne crois plus rien de ce que disent les sondages. On ne publie jamais que ceux qui intéressent ceux que cela intéresse.

C’est donc le fric qui commande ce que l’intéresse, et qui ne publie que que ceux qu’il veut bien rendre publics.

C’est quand-même clair comme l’air :

Évolution du sentiment de citoyenneté européenne depuis 1989 :

[font=Courier]Question : Vous arrive-t-il de penser à vous-même comme étant un citoyen de l’Europe?

                        Très souvent          Pas très souvent              Sans Opinion
                         ou Souvent                ou Jamais
  • Juin 1989 31 68 1
  • Juillet 1990 38 60 2
  • Septembre 1992 37 61 2
  • Avril 1994 36 63 1
  • Mai 1999 24 76 0
  • Décembre 2001 29 70 1
  • Juillet 2008 38 62 0[/font]

Faudrait-il croire qu’entre décembre 2001 et juillet 2008 (sept années !), ils n’ont jamais osé poser la question ? Ou peut-être craignent-ils que nous n’arrivions à des conclusions qu’ils ne veulent pas que nous assimilions ? Les résultats de 2004 et 2005, ainsi que 2007 seraient très intéressants.

Seuls 38 % des Français se perçoivent comme des citoyens de l’Europe, tandis que 62 % d’entre eux indiquent ne pas se sentir « citoyen de l’Europe ».

Sandy, mon propre avis est le suivant : je ne me sens pas du tout « citoyen de l’Europe », comme 62 % des Français interrogés par TNS SOFRES en septembre 2008.

Les raisons qui m’ont poussé à vous soumettre les résultats de ce sondage sont les suivantes :

  • aucun journal à la télévision, aucun journal à la radio, aucun grand journal de la presse écrite, n’a donné ce résultat : seuls 38 % des Français se perçoivent comme des citoyens de l’Europe, tandis que 62 % d’entre eux indiquent ne pas se sentir « citoyen de l’Europe » ;

  • en revanche, la propagande sur la prétendue " citoyenneté européenne " fonctionne à plein régime.

jamais entendu parlé de cette propagande sur la citoyenneté européenne
de quoi s’agit-il ?

Vous n’avez jamais entendu dans les médias cette expression : " Les citoyens européens pensent ceci … Les citoyens européens préfèrent cela … Les citoyens européens sont appelés aux urnes … Les citoyens européens patati … Les citoyens européens patata … " ? Jamais ?

Le traité de Maastricht a été adopté en 1992. Le traité de Maastricht stipule ces phrases hallucinantes :

" Il est institué une citoyenneté de l’Union. Est citoyen de l’Union toute personne ayant la nationalité d’un Etat membre. "

Comme si être un citoyen pouvait être imposé par un traité !

Comme si un sentiment pouvait être imposé par un traité !

Maintenant, regardons la réalité, seize ans plus tard. La réalité, c’est ce que répondent les Français au sondage TNS SOFRES en septembre 2008 :

seuls 38 % des Français se perçoivent comme des citoyens de l’Europe, tandis que 62 % d’entre eux indiquent ne pas se sentir « citoyen de l’Europe ».

je crois que quand ils parlent de citoyens c’est uniquement d’un point de vue juridique
cela octroie à la personne un certain nombre de droits et la place sous une certaine juridiction

pourquoi vouloir y mêler je ne sais quel sentiment ?

qu’on se sente moins « européen » que « français » ou pas « européen », rien de plus normal étant donné que l’union européenne n’est qu’une union de plusieurs nations et étant donné l’état actuel de la souveraineté européenne

c’est sans compter sur la barrière des langues, tant que les débats politiques entre européens ne se dérouleront que parmi les élus et les technocrates qui siègent au niveau des institutions européennes, on ne peut pas faire autrement qu’une union de nations

je trouve que ce sondage n’apprend rien dutout

un sondage qui nous dirait combien de français sont, par principe, pour la construction européenne serait plus interessant

Sandy écrit : " tant que les débats politiques entre européens ne se dérouleront que parmi les élus et les technocrates qui siègent au niveau des institutions européennes, on ne peut pas faire autrement qu’une union de nations. "

Mais Sandy, vous n’avez pas encore compris que les élus et les technocrates qui siègent au niveau des institutions européennes NE VEULENT SURTOUT PAS que les débats politiques se déroulent au niveau des peuples ?

Vous n’avez pas encore compris ça ?

A propos de l’Union Européenne, le pape est aujourd’hui à Lourdes pour le 150ème anniversaire de l’apparition de la Vierge Marie. Aujourd’hui, en France, nous voyons de plus en plus souvent le drapeau de l’Union Européenne, à côté du drapeau français. Mais connaissez-vous l’histoire du drapeau de l’Union européenne ?

Le drapeau de l’Union européenne est le drapeau de la Vierge Marie !

Tout commence le 18 juillet 1830. A Paris, une jeune femme de 24 ans, Catherine Labouré, voit apparaître la Vierge Marie dans la chapelle située au 140, rue du Bac.

« Le 27 novembre 1830, la Sainte Vierge apparaît de nouveau à Catherine Labouré dans la chapelle. Cette fois, c’est à 17 h 30, pendant l’oraison des novices, sous le tableau de saint Joseph (emplacement actuel de la Vierge au globe). D’abord Catherine voit comme deux tableaux vivants qui passent, en fondu enchaîné, et dans lesquels la Sainte Vierge se tient debout sur le demi-globe terrestre, ses pieds écrasant le serpent.

Dans le premier tableau, la Vierge porte dans ses mains un petit globe doré surmonté d’une croix qu’elle élève vers le ciel. « Cette boule représente le monde entier, la France et chaque personne en particulier » entend Catherine.

Dans le deuxième tableau, il sort de ses mains ouvertes, dont les doigts portent des anneaux de pierreries, des rayons d’un éclat ravissant. Catherine entend au même instant une voix qui dit : « Ces rayons sont le symbole des grâces que je répands sur les personnes qui me les demandent ». Puis un ovale se forme autour de l’apparition et Catherine voit s’inscrire en demi-cercle cette invocation en lettres d’or : « O Marie conçue sans péché priez pour nous qui avons recours à vous ».

Alors une voix se fait entendre : « Faites, faites frapper une médaille sur ce modèle. Les personnes qui la porteront avec confiance recevront de grandes grâces ».

Enfin le tableau se retourne et Catherine voit le revers de la médaille : en haut une croix surmonte l’initiale de Marie, en bas deux cœurs, l’un couronné d’épines, l’autre transpercé d’un glaive. »

http://www.chapellenotredamedelamedaillemiraculeuse.com/FR/C2.asp

Cette médaille de la Vierge Marie est à l’origine du drapeau de l’Union européenne !

« La médaille porte sur son revers une initiale et des dessins qui nous introduisent dans le secret de Marie. La lettre « M » est surmontée d’une croix. Le « M » est l’initiale de Marie, la croix est la Croix du Christ. Les deux signes enlacés montrent le rapport indissoluble qui lie le Christ à sa très sainte Mère. Marie est associée à la mission du Salut de l’humanité par son Fils Jésus et participe par sa compassion à l’acte même du sacrifice rédempteur du Christ.

En bas, deux cœurs, l’un entouré d’une couronne d’épines, l’autre transpercé d’un glaive.

Le cœur couronné d’épines est le Cœur de Jésus. Il rappelle l’épisode cruel de la Passion du Christ raconté dans les évangiles, avant sa mise à mort. Il signifie sa Passion d’amour pour les hommes.

Le cœur percé d’un glaive est le Cœur de Marie, sa Mère. Il rappelle la prophétie de Siméon racontée dans les évangiles, le jour de la Présentation de Jésus au temple de Jérusalem par Marie et Joseph. Il signifie l’amour du Christ qui habite Marie et son amour pour nous : pour notre Salut, elle accepte le sacrifice de son propre Fils.

Le rapprochement des deux Cœurs exprime que la vie de Marie est vie d’intimité avec Jésus. Douze étoiles sont gravées au pourtour. Elles correspondent aux douze apôtres et représentent l’Eglise. Etre d’Eglise, c’est aimer le Christ et participer à sa passion pour le Salut du monde. Chaque baptisé est invité à s’associer à la mission du Christ en unissant son cœur aux Cœurs de Jésus et de Marie. La médaille est un appel à la conscience de chacun, pour qu’il choisisse, comme le Christ et Marie, la voie de l’amour jusqu’au don total de soi. »

http://www.chapellenotredamedelamedaillemiraculeuse.com/FR/D3.asp

Cent vingt ans plus tard, en 1950, Paul M.G. Lévy est premier directeur au Service de Presse du Conseil de l’Europe. Il connaît un employé au service du courrier « très artiste pour peindre et dessiner ». Il s’appelle Arsène Heitz. Paul M.G. Lévy lui demande de dessiner un drapeau pour l’Europe. Arsène Heitz est un chrétien fervent. Il choisit le bleu, couleur de la Vierge Marie. Il y rajoute les douze étoiles de la médaille miraculeuse de la rue du Bac.

Maintenant, quand nous verrons un drapeau européen, nous penserons aussitôt à Catherine Labouré, qui a vu apparaître la Vierge Marie dans la chapelle située au 140, rue du Bac !

Maintenant, quand nous verrons un drapeau européen, nous penserons aussitôt à la Vierge Marie !

http://fr.wikipedia.org/wiki/Drapeau_européen