[font=Arial]À propos de notre mode de fonctionnement[/font]
Je sais par expérience le temps et l’énergie que demandent les forums modérés.
Les forums de l’Alliance pour un monde responsable, pluriel et solidaire, où j’ai eu l’occasion de connaître et d’apprécier Germà étaient beaucoup plus contraignants que celui-ci, et j’ai apprécié la plus grande autonomie de celui-ci. Chaque message, révisé par le modérateur pour corriger les fautes etc, comprenait en tête un résumé du contenu, permettant aux lecteurs de voir ou non s’ils voulaient aller plus loin ou s’en tenir là. Le contenu lui-même était « mis en forme », fractionné en sous-paragraphes pour bien mettre en évidence la teneur et le rendre agréable à lire. Les thèmes n’étaient pas traités en parallèle comme ici, mais échelonnés dans le temps selon un agenda, avec des synthèses hebdomadaires et thématiques. Travail d’ensemble nécessitant plusieurs personnes.
C’est pour avoir voulu traiter moi-même de « La France citoyenne » que je me suis retrouvée face à l’énormité des dysfonctionnements des institutions rendant impossibles les mutations nécessaires.
En bonne logique, je me retrouve donc ici.
J’observe la dynamique en jeu et n’interviens que dans la mesure où je peux apporter quelque chose de constructif. Je suis allée cliquer sur les derniers liens indiqués par Étienne dans son précédent message. Et je suis entièrement d’accord qu’il nous faut traiter ces sujets. Il y a une confusion totale dans nos instances gouvernementales sur qui fait quoi et qui peut quoi.
Là, il faut vraiment que nous mettions de l’ordre dans nos affaires. Il faut reprendre les structures selon lesquelles nous fonctionnons, en incluant « les contingences humaines ».
Quelles structures seraient les mieux adaptées pour libérer l’énergie créative de tous les citoyens.
Actuellement, nous sommes plutôt dans « la camisole de force ». Et pour dire non, on n’a effectivement plus guère le choix que de descendre dans la rue.
L’année dernière, une député que je connais s’est insurgée : « En France, est-ce la rue qui gouverne ? » à quoi je n’avais comme réponse possible que celle-ci : il faut bien que la rue gouverne puisque le gouvernement n’est pas à la hauteur de la situation.
Du côté des synthèses, j’ai mesuré l’énorme travail que cela représente. Comment Étienne pourrait-il assumer cela à lui tout seul ? C’est impensable.
Le taux de participation « active » est effectivement faible. Comment encourager la participation ??..
Pour ma part, je ne peux intégrer que petit à petit les différents sujets et les dialogues qu’ils suscitent.
Quand on marche à pied, qu’on roule à vélo ou en voiture, le paysage est nettement différent de ce que l’on peut distinguer comme grandes lignes vu de la hauteur. N’est-ce pas Étienne ? Même au travers de frictions, d’éloignements ou de divergences, avec le temps et le recul, on va voir se dessiner « des lignes de force », le courant de vie qui anime notre projet.
Je ne suis pas encore allée sur le site de CIPUNCE parce que ma cervelle n’est pas encore en mesure d’absorber ce niveau d’information !!! Ça va venir…