VEL' d'HIV : responsabilité de la France

16 juillet 1942

François Hollande, le 22 juillet 2012, a dit la vérité simple et pure : la Rafle du Vel’ d’Hiv’, le 16 juillet 1942, est « un crime commis en France par la France », sans la participation d’un seul soldat allemand.

Mitterrand n’avait jamais voulu le reconnaître : il rejetait toute la responsabilité sur le régime de Vichy pour en absoudre à la fois la République et notre pays.

Jacques Chirac, le 16 juillet 1995, a eu l’immense mérite de dire ,le premier, l’essentiel : « Ces heures noires souillent à jamais notre histoire et sont une injure à notre passé et à nos traditions. Oui, la folie criminelle de l’occupant a été secondée par des Français, par l’État français […] La France, patrie des Lumières et des Droits de l’Homme, terre d’accueil et d’asile, la France, ce jour-là, accomplissait l’irréparable ». Même si sa référence à l’« État français » pouvait passer pour une ambigüité.

C’est peut-être la population française elle-même qui a le plus de mal à accepter cette irréparable vérité. Pourtant, nous n’hésitons guère à attribuer à la France la gloire d’avoir été le premier État à proclamer les Droits de l’homme universels, ou celle d’avoir construit Versailles et les cathédrales : alors ?

Il y a des explications, qui ne sont pas des excuses : l’affreuse saignée de 1914-1918 nous avait affaiblis physiquement, donc moralement, en nous privant d’un grand nombre des meilleurs d’entre nous, ceux qui auraient été les mieux placés pour affronter la défaite, comme de Gaulle et Jean Moulin, ou peut-être pour l’éviter,

Le serrement de cœur qu’éprouvent la plupart des Français ordinaires quand ils se remémorent, soixante-dix ans après, cette terrible page de notre histoire est cependant la marque d’un immense regret collectif que nos représentants au plus haut niveau ont su exprimer : c’est à leur honneur et, malgré tout, à celui de la France. JR

Réponse de Chevènement :

Dépêche AFP, lundi 23 juillet 2012, 14h39

François Hollande et la rafle du Vel d’Hiv: Chevènement pas d’accord
Le président d’honneur du MRC Jean-Pierre Chevènement s’est dit lundi en désaccord avec les propos du président François Hollande pour qui la rafle du Vel d’Hiv avait été commise « par la France », ce qui revient selon lui à « faire comme si Pétain était la France ».

« Le président Hollande, dans son discours du 22 juillet, a malheureusement omis de dire que les crimes commis par les policiers et les gendarmes français, lors de la rafle du Vel d’Hiv, l’ont été sur l’ordre de l’Etat français de Vichy collaborant avec l’Allemagne nazie », relève le sénateur du territoire de Belfort, sur son blog.

« C’est occulter les accords passés avec la gestapo par René Bousquet, alors secrétaire général de la police, agissant pour le gouvernement de Vichy. C’est faire comme si Pétain était la France et comme si le véritable coup d’Etat opéré le 10 juillet 1940 par un gouvernement de capitulation n’avait pas existé », argumente-t-il.

M. Chevènement rappelle que « deux présidents de la République, Charles de Gaulle et François Mitterrand, avaient tenu sur la ligne selon laquelle l’Etat français de Vichy n’était ni la République ni la France ».

Selon le fondateur du MRC, « la France a besoin de retrouver confiance en elle-même » et « ne pourra le faire que sur la base d’une conscience claire de son Histoire ». « La vérité exige que le débat continue », ajoute-t-il.

« Nous devons aux martyrs juifs du Vélodrome d’Hiver la vérité sur ce qui s’est passé il y a 70 ans » et « la vérité, c’est que ce crime fut commis en France, par la France », a déclaré dimanche le chef de l’Etat, à l’occasion du 70e anniversaire de la rafle de juillet 1942.


et de NDA

Nicolas Dupont-Aignan , président de Debout la République, a estimé à propos de l'anniversaire de la rafle du Vél' d'Hiv' que François Hollande "a eu raison de rappeler cet événement tragique" mais l'a accusé d'avoir "une lecture bancale de la responsabilité de la France". François Hollande "a eu raison de rappeler cet événement tragique de notre Histoire car il est à jamais une trahison des valeurs fondatrices de notre pacte national", écrit Nicolas Dupont-Aignan dans un communiqué à propos du discours du chef de l'Etat prononcé dans la matinée pour le 70ème anniversaire de la rafle du Vél' d'Hiv'. "Cependant, en voulant sans doute marquer les esprits, François Hollande a eu une lecture bancale de la responsabilité de la France sous l'occupation nazie", selon lui. "Il a déclaré que cette rafle était 'un crime commis en France par la France'", développe l'ancien candidat à la présidentielle. "Une telle phrase dans la bouche d'un président de la République est une déformation historique. Oui, ce qui s'est passé en juillet 1942 est un crime abominable, oui, il s'est passé en France avec des policiers français, mais non, il n'a pas été commis par la France". "La France n'était pas une et indivisible à cette époque. Il y avait certes le pouvoir détenu par le régime de Vichy, responsable de cette rafle. Mais la vraie France, la France éternelle, était à Londres. Elle était dans les caves et les maquis à résister contre cette barbarie. Elle était chez ces familles françaises qui ont caché des enfants juifs. En voulant faire un effet d'annonce, François Hollande trahit la mémoire de cette vraie France", poursuit-il avant de conclure: "Nous devons faire attention à ne pas passer d'un excès à l'autre sous peine de déformer l'Histoire de France".

Attribuer globalement à « la France » une telle infamie est insultant pour cette partie de la France qui résistait.

Ce qui interroge une fois de plus sur le bien fondé de la notion de nation comment entité pensante unique et unie.


En outre, le propos de FH laisse entendre que nous sommes sortis d’affaire. Ce qui est faux, pour les quelques raisons qui suivent :

Un pouvoir central a le désavantage d’être central, en ce sens qu’il est plus facile à squatter qu’un pouvoir dispersé et/ou fondé sur la responsabilité individuelle.
En 1940, le pouvoir central fut squatté par la pensée fasciste, et en 1993 il le fut par la pensée « libérale » qui malgré sa racine étymologique induit l’enfermement des peuples dans la prison de l’argent. Et de nos jours encore le centralisme, européen en particulier, constitue un réel danger de dérive.

Un gouvernement représentatif a le défaut d’être représentatif en ce sens que :
a) L’absence de débat réellement public endort ou tue la conscience collective.
b) Des « légalistes » peuvent par ruse se fonder sur la loi et la constitution pour mettre « légitimement » le club des représentants au service de forces contraires à l’intérêt général ou pire encore au service de l’horreur. Cela s’est vu en 1993 comme en 1940.

Cela était criard d’évidence le 16 juillet 1942, mais de nos jours ce qui suit reste valable, quoique moins visible, ou plus subtile :
Dès qu’existent des forces armées (militaires ou policiers) dont l’effectif ou les chefs sont des professionnels à vie, professionnels du maintien de l’ordre, qui en plus ont prêté serment d’obéissance, la liberté et la conscience sont en danger : il suffit en effet d’une dérive, du pouvoir central/légal, même légère, ou cachée, pour que se mettent en place ( … ou se renforcent ) tous les outils de domination, de muselage, de manipulation, par une idéologie, ou une oligarchie, ou l’argent, ou tout autre agent pervers, pour que s’instaure et se maintienne, par la force professionnelle, le désordre moral structuré en « ordre nouveau ».

Notre système économique et social, hiérarchisé, et ça ne date pas d’hier, c’est une constante qui traverse les temps historiques, est organisé pour inhiber/endormir la conscience, individuelle et collective, pour rendre quasi-impossible l’émergence d’une contestation humaniste et solide, pour obtenir de l’individu sa complicité et son adhésion, l’individu qui ne peut s’arracher sans crever.

Alors que depuis des milliers d’années se mène continument la bataille de la conscience, notre système médiatique actuel dope la suprématie du cerveau reptilien.

Si, comme le suggère le message précédent, il faut mettre en doute « la notion de nation comme entité pensante unique et unie », alors on ne voit pas pourquoi la « partie de la France qui résistait » devrait se sentir insultée par l’attribution à la « France » de l’infamie du 16 juillet 1942, contrairement à ce qu’affirme le même message.

C’est à la France globalement que j’attribue sans hésiter la gloire de la Révolution française, celle de la proclamation des droits de l’homme universels, et de bien d’autres choses encore dont, en tant que Français, je me reconnais assez fier : c’est donc à la France que j’attribue l’atrocité du Vel’ d’Hiv’, et je ressens de même la honte qui s’y attache. Réagir autrement, c’est, selon moi, faire preuve de patriotisme mal placé.

On peut voir là une application à la vie courante de ce qui s’appelle en droit international la « succession d’États » * : en tant que population unie (ou divisée…) par un lien national, nous sommes les successeurs des populations qui nous ont précédés.

Il ne s’agit pas de repentance larmoyante, mais de lucidité nécessaire pour éviter de retomber dans des ignominies semblables. La France n’est pas, loin de là, la seule nation qui aurait intérêt à pratiquer ce genre de lucidité.

Certaines des réactions qui précèdent nous renvoient, historiquement parlant, à la question d’Autruche. JR


* 25.vii.2012 : Additif pour les curieux. En fait, les principes relatifs à la « succession d’États » s’appliquent ici en creux.

En effet, les critiques de la déclaration hollandiène (Chevènement, Dupont-Aignan, &), sous-entendent qu’il y aurait eu rupture de l’identité nationale avec l’élimination du régime de l’« État Français » et le retour à la République.

Ce n’est pas le cas : il s’agissait d’une simple « succession de gouvernements » (c’est-à-dire, de régimes politiques) : le pays et la population (donc, la nation) étaient restés identiques. Comme en 1815, lors du passage de l’Empire à la Restauration.

Si l’on veut des exemples de vraies successions d’États, ils ne manquent pas à notre époque : en 1962, entre l’Algérie et la France (l’Algérie n’était plus la France) ; dans les années 1990 : la séparation pacifique de la Tchéquie et de la Slovaquie succédant à la Tchécoslovaquie ; et le cas extrême de l’ancienne Yougoslavie (successions d’États multiples : la Bosnie-Herzégovine, la Croatie, le Kosovo, le Monténégro, la Serbie et la Slovénie naissent, la Yougoslavie disparaît).

De même, en 1922, l’Union soviétique succède à la Russie tsariste : simple succession de gouvernements (même si le gouvernement soviétique a voulu répudier les dettes internationales de l’État tsariste… que la nouvelle Russie a récemment décidé de rembourser). Par contre, vraie succession d’États lorsque le Bélarus, la Géorgie, la Lituanie, l’Ukraine et de nombreuses autres républiques soviétiques se séparént de l’ancienne URSS (redevenue entre temps la Russie).

Tel est le point de vue du droit international, mais je ne m’avancerai pas beaucoup en disant que c’est le point de vue d’à peu près tout le monde. Il y a peu de gens à qui viendrait l’idée de mettre en doute la persistance d’une identité nationale essentielle de la France depuis le traité de Verdun de 843.

L’identité nationale, on doit faire avec, pour le meilleur… et pour le pire.

« alors on ne voit pas pourquoi … » Il est tout à fait permis de ne pas voir :wink: Mais je suggère d’éviter la polémique agressive, du moins ici. Nous aurons l’occasion sur des sujets moins sensibles :wink:

« lucidité nécessaire pour éviter de retomber dans des ignominies semblables » >>> c’est bien ce qui a motivé mon message.
A noter que 18000 enfants meurent chaque jour de faim. Il y a donc bien quelque chose de pourri au Royaume des Humains.
L’Histoire change de costume ; la perversion demeure.
Chercher l’erreur.

Sans guerre aucune nation, sans frontière aucun pays, sans église (au sens général) aucun peuple, sans peuple aucune entraide, alors vint l’ Unique.

La France est morte avec De Gaulle. Au Benêtland le vote est ethnique à l’africaine, le bobo, le gris, le noir vote rose, le blanc (souchien), le harkis vote bleu-marine et le Seigneur Capitaliste est comme un chameau dans le désert, suffit de choisir la bonne couleur de poil du gardon qui amorce la pêche au benêt (dite « Concours de la Caste »).

Le tirage au sort n’ y changera rien. [b]Le Benêtland sera éternel, comme la magnifique république démocratique d’ Haïti !

Chez le bobo il n’y a plus de Cité (alors le tirage au sort …); [/b]le caractère « social » des actes n’apparait plus; aucun principe supérieur ni idéal ne vient plus sortir les bobos hors du cercle étroit de leur intérêt individuel consumériste.

Marx et Engels l’ ont superbement décrit dans Le Manifeste :

«Là où elle est arrivée au pouvoir, la mentalité bobo a détruit tous les rapports féodaux, patriarcaux, idylliques. Elle a impitoyablement déchiré la variété bariolée des liens féodaux qui unissaient l’homme à ses supérieurs naturels et n’a laissé subsister d’autre lien entre l’homme et l’homme que l’intérêt tout nu, le dur ‹ paiement comptant ›.
Elle a noyé dans les eaux glacées du calcul égoïste les frissons sacrés de l’exaltation religieuse, de l’enthousiasme chevaleresque, de la mélancolie sentimentale des petits-bourgeois. Elle a dissous la dignité personnelle dans la valeur d’échange et substitué aux innombrables libertés reconnues par lettres patentes et chèrement acquises la seule liberté sans scrupule du commerce. En un mot, elle a substitué à l’exploitation que voilaient les illusions religieuses et politiques l’exploitation ouverte, cynique, directe et toute crue.
La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités tenues jusqu’ici pour vénérables et considérées avec une piété mêlée de crainte. Elle a transformé le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, l’homme de science, en salariés à ses gages.»

Sans frontière hérétique, pas de cité, pas de peuple, pas d ‹ entraide. Même pas de troupeau en fait, dans un troupeau de buffles ya de l › entraide !

Le bobo est un sous-animal !

"alors on ne voit pas pourquoi ..." Il est tout à fait permis de ne pas voir ;) Mais je suggère d'éviter la polémique agressive, du moins ici. Nous aurons l'occasion sur des sujets moins sensibles ;)

« lucidité nécessaire pour éviter de retomber dans des ignominies semblables » >>> c’est bien ce qui a motivé mon message.
A noter que 18000 enfants meurent chaque jour de faim. Il y a donc bien quelque chose de pourri au Royaume des Humains.
L’Histoire change de costume ; la perversion demeure.
Chercher l’erreur.



DU GRAND BOBOISME !!! (la variante humaniste du barbu chrétien qui se goinfre d’ hosties ong)

SOUS PEU UN GENETICIEN TROUVERA L’IMMORTALITE …

Alors fermer les yeux (pour pas voir la suite) !

« Nous avons encore une chance d’ être cruels. Mais si aujourd’ hui nous ne le sommes pas, tout est perdu ! » Pentti Linkola fureur des Petits Hommes Verts

«Tout acte qui freine le progrès et détruit la culture occidentale est positif.» Pentti Linkola augure de l’ alliance objective du Parti des Vrais Ecologistes et du Grand Califat.

" Dans quel but ? Pourquoi accroître la production ?
— Pour nourrir les millions d’êtres qui meurent de faim.
— Et si vous les nourrissez, obtiendrez-vous d’eux la promesse qu’ils ne se reproduiront pas ?
— Eh bien… non. Cela ne fait pas partie du projet.
— Alors qu’arrivera-t-il si vous nourrissez des millions d’affamés ?
— Ils se reproduiront et notre population augmentera.
— Immanquablement. "
Daniel Quinn, « Ishmael »

« Si vous étiez Navajo et que vous entriez en territoire hopi, les Hopis ne vous auraient pas donné un formulaire à remplir, ils vous auraient tout simplement tué. Ce système fonctionnait fort bien. Il procurait à chaque peuple un stimulant pour limiter sa croissance. »
Daniel Quinn, « Ishmael »

Mais évidemment pour dresser 15 milliards de benêts c’ est pas le tirage au sort que va choisir le 1% de dominateurs qui a existé depuis la nuit des temps

sans église (au sens général) aucun peuple, sans peuple aucune entraide, [...] dans un troupeau de buffles ya de l' entraide
mmmm ?
[i]"Le sens moral est en nous une faculté naturelle, tout comme le sens de l'odorat et le sens du toucher. Quant à la Loi et à la Religion, qui elles aussi ont prêché ce principe [de solidarité], nous savons qu'elles l'ont simplement escamoté pour en couvrir leur marchandise - leur prescription à l'avantage du conquérant, de l'exploiteur et du prêtre."[/i] Piotr Kropotkine - La morale anarchiste

« L’assa fœtida pue, le serpent me mord, le menteur me trompe ? La plante, le reptile et l’homme, tous trois, obéissent à un besoin de la nature. Soit ! Eh bien, moi, j’obéis aussi à un besoin de ma nature en haïssant la plante qui pue, la bête qui tue par son venin et l’homme qui est encore plus venimeux que la bête. Et j’agirai en conséquence, sans m’adresser pour cela ni au diable, que je ne connais d’ailleurs pas, ni au juge que je déteste bien plus encore que le serpent. Moi, et tous ceux qui partagent mes antipathies, nous obéissons aussi à un besoin de notre nature. Et nous verrons lequel des deux a pour lui la raison et, partant, la force. » Piotr Kropotkine entend Stirner

« L’institution de la propriété privée est l’expression pure de la discrimination, et en même temps le fondement de la liberté personnelle. Car ce n’est pas seulement que la discrimination est inéluctable ; c’est aussi que la discrimination – la discrimination dans la faculté de choisir – est une vertu. Elle n’est rien de moins que… la condition même de la liberté et de la civilisation. » Hans Hoppe

Loin du boboïsme … mais inutile, le bobo est un barbu obtu.

D’ ailleurs l’ obtu bobo refuse de voir que l’ immigration nous coule comme sa colonisation le faisait !

Sans compter son massacre bien pensant au béton …

Mais évidemment le bobo est un idiot utile de l’ extrême droite comme Bobodruchon l’ a démontré … Le mammifère supérieur a quelques gènes de territorialité … envoyer un bobo dans une banlieue et c’ est bizarre, il change d’ avis …


« «L’ homme est ce qu’ il mange» a dit Feuerbach, que mange le bobo ? Des sauterelles vu sa population pullulente, pas le choix …Et les vaches pètent, c’ est pas bon pour l’ environnement, elles ont aussi des cloches qui le dérangent dans son béton HQE ! »
Extrait ‹ Le bobo › Ed. Stinerkine

[i]"Le sens moral est en nous une faculté naturelle, tout comme le sens de l'odorat et le sens du toucher."[/i] Piotr Kropotkine - La morale anarchiste

Loin du boboïsme


Ah ?

http://www.youtube.com/watch?v=384w9Nmg9_w

ce que dit Vozel, la petite immigration choisie ? démocratiquement … je suis sûr que si on avait fait un référendum en 70 … ou un tirage au sort …

Finissez vos phrases.
Vous êtes sûr de quoi ?
Qu’il y aurait eu, ou pas, une rafle du vel’ d’hiv’ ?

Laval, élu socialiste, maître d’oeuvre de la collaboration sous Pétain, a suivi à ce poste l’ ancien garde des sceaux radical-socialiste Darlan. Mitterrand, grand décoré de la francisque, petit résistant, prudemment fin 43 … après Stalingrad et Koursk … De même Marcel Déat membre du Parti Socialiste, Jacques Doriot également socialiste et membre du Parti Communiste, René Bousquet Radical Socialiste, Maurice Papon Radical Socialiste, Paul Rassinier le père du Révisionnisme fut Communiste puis Socialiste etc … La vérité est que les nationalistes et les cagoulards, furent nombreux à Londres avec le Général de Gaulle, et bien moins nombreux dans les rangs vichystes de Pétain et de Laval.

Extrait de ‹ La pourriture rose pour les nuls › Editions Yéti.

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Franchement attribuons à la France tout ce qui est positif, et attribuons à des individus tout ce qui est négatif, assumons notre chauvinisme.