Le tirage au sort développe la responsabilisation par l’idée de remplir une mission pour la société et permet à de nouvelles idées d’émerger.
1er objectif : que celui qui veut le pouvoir ne l’ait pas ! Il est question de collèges de personnes tirées au sort (TAS) et non d’un individu.
Le tirage au sort ne s’effectuerait pas sur une base de volontariat mais sur un ensemble de citoyens (par exemple les inscrits sur listes électorales, à élargir possiblement aux résidents en fonction du périmètre géographique) et avec ou pas la possibilité de refuser la charge.
Les personnes tirées au sort pourraient devoir résider dans le périmètre géographique impacté par la décision et possiblement avoir plus de 21 ans.
Il y a à déterminer une durée limitée pour chaque mission ainsi qu’un défraiement pour les participants (possiblement aligné sur la rémunération habituelle du participant avec toutefois un maximum et un minimum).
Il serait possible de rejeter la participation d’une personne qui à l’évidence ne serait pas en capacité et nuirait au bon fonctionnement du groupe. Pour éviter les dérives, seul le groupe constitué par TAS pourrait en décider à 66% de vote pour, au minimum. Un seuil élevé mais pas trop, pour tenir compte d’une empathie naturelle à ne rejeter personne.
Les règles de fonctionnement doivent pouvoir être revues en fonction de la pratique.