Documentaire Planète à vendre d’Alexis Marant visible pendant 7 jours sur arte.tv : la ruée de la finance internationale sur les terres agricoles. Avec comme conséquence la transformation de paysans pauvres et communautaires en travailleurs précaires misérables en concurrence pour des emplois sous-payés et les primes qui les rendent un peu moins sous-payés. Ne ratez pas les kalachnikovs protégeant les serres du premier producteur mondial de roses coupées.
(on parlait de l’impact de l’enclosure des communaux sur un autre fil)
Instruit surement pas mais détente ça c’est sûr! ^^
[align=center]Documentaire - Quand l’Europe sauve ses Banques, qui paye ?[/align]
Synopsis : [bgcolor=#FFFF99][i]Date de diffusion: Mardi 26 Février 2013
Une enquête coup de poing sur les dessous des plans de sauvetage des banques européennes.
50 milliards d’euros en Grèce, 70 milliards en Irlande, 40 milliards en Espagne : au sein de la zone euro, les États se sont vus contraint les uns après les autres - moyennant des sommes astronomiques - de venir en aide aux banques pour compenser les pertes subies suite à des prêts pourris. Mais qui sont les bénéficiaires de telles opérations ?
C’est en posant cette question très simple qu’Harald Schumann, essayiste en économie et brillant journaliste, sillonne l’Europe. Et obtient des réponses pour le moins sidérantes. Car ceux qui ont été « sauvés » ne se trouvent pas - comme on tend à vouloir nous le faire croire - dans les pays en détresse, mais surtout en Allemagne et en France. En effet, une part importante des sommes débloquées finit dans les caisses des créanciers de ces banques sauvées. Quant aux financiers qui ont fait de mauvais investissements, ils se retrouvent protégés contre toute perte aux frais de la collectivité. Et ce contrairement aux règles de l’économie de marché. Pourquoi ? Qui encaisse l’argent ?[/i][/bgcolor]
J’ai vu un reportage hier soir sur le procès des développeurs du site internet « The pirate bay », c’est quatre jeunes garçons qui sont attaqué par la justice Suédoise appuyé par la justice Américaine. J’en ai conclut à la fin que finalement tous les pays du monde (du moins les prétendus développés) sont victimes du même fléau. Nous connaissons les mêmes problèmes, aucun de nous n’est meilleur que les autres, et pour ce que je sais et connais des Suisses, ca à l’air d’être pareille.
[align=center]The Pirate Bay documentaire français[/align]
Le quotidien est peut-être plus inquiétant qu’on ne le pensait, cependant cela veux dire plus d’espoir également.
Synopsis : [bgcolor=#FFFF99]Le procès de trois geeks suédois, fondateurs d’une des plus grandes plates-formes de peer-to-peer du monde.
Fondé en 2004, The Pirate Bay entendait permettre à ses millions d’utilisateurs, aux quatre coins du globe, d’échanger des fichiers audio et vidéo hors de tous les circuits commerciaux traditionnels - à la grande fureur de l’industrie cinématographique et musicale. Au terme d’un procès très médiatisé, un tribunal suédois a prononcé des peines de prison ferme et ordonné le versement de millions de dollars de dommages et intérêts à l’encontre de trois de ses principaux membres. Dans ce documentaire, chronique de cette longue procédure judiciaire, les trois jeunes geeks, Gottfrid Svartholm Ward, Fredrik Neif et Peter Sunde - leur souriant porte-parole et le plus politisé du groupe -, apparaissent comme trois garçons aux profils et aux motivations bien différents. De ce portrait de hacker en jeune homme, « les fondateurs de The Pirate Bay ne ressortent pas forcément grandis, mais plus humains », écrit Damien Leloup dans Le Monde. Le documentaire ne fait en effet l’impasse ni sur leurs traits de caractère les moins sympathiques - humour douteux, propos racistes - ni sur les zones d’ombre de l’aventure - liens avec l’extrême-droite, interrogations de la cour autour des recettes publicitaires. Surtout, de la visite des serveurs aux liens tissés entre The Pirate Bay, le tout jeune Parti des Pirates suédois et WikiLeaks, il propose une immersion passionnante dans l’univers du « crime désorganisé ». Présenté en février à la Berlinale (en ouverture de la section Panorama documentaires), ce film de Simon Klose vient nourrir le débat sur les droits d’auteur dans une société de plus en plus interconnectée.[/bgcolor]
[align=center]Documentaire Hugo Chavez Le Grand Mensonge [/align]
Synopsis : [bgcolor=#FFFF99]Le président vénézuélien Hugo Chavez est mort le 6 mars des suites d’un cancer. Après 14 ans de mandat, sa « révolution bolivarienne » laisse un bilan contrasté.
Côté pile, des réformes sociales qui ont changé la vie quotidienne au Venezuela : hôpitaux gratuits, alphabétisation du peuple. Grâce à l’argent du pétrole, Chavez a sorti son pays de la misère. Il restera sans doute comme l’une des grandes figures contemporaines de l’Amérique latine, aux côtés de Fidel Castro ou Lula.
Mais côté face, le « comandante » était un autocrate provocateur et imprévisible, adversaire des Etats-Unis et soutien des pires dictateurs de la planète (Ahmadinejad, Assad, Kadhafi). Dans son pays, la violence a explosé : 20 000 morts par an, ce qui fait du Venezuela un territoire plus dangereux que l’Irak. Autre point noir : la corruption, dont les principaux bénéficiaires seraient sa famille et son clan.
SPECIAL INVESTIGATION rediffuse une enquête de Caroline du Saint sur la part d’ombre du régime chaviste.[/bgcolor]
A voir sur Arte (pendant un temps fini je suppose…). Excellent!
« Mal aimée, mal connue, l’ortie recèle pourtant bien des vertus : médicinales, culinaires, écologiques… Sous forme d’extrait fermenté, elle enrichit le sol et fortifie les cultures. Comme inquiets de son succès, porté par la grande vague du bio, les pouvoirs publics décident d’encadrer l’usage du « purin d’ortie », législation à l’appui. Se déclenche alors une véritable « guerre de l’ortie », lutte emblématique contre la marchandisation du vivant. Devenue un symbole de liberté et de défiance face aux lobbies de l’agrochimie, l’ortie interroge notre rapport à la nature sauvage, nous invite à une relation harmonieuse à la biodiversité. Scientifiques, agriculteurs, paysagistes nous la font redécouvrir depuis les versants pyrénéens jusqu’aux forêts fluviales australiennes en passant par les allées du château de Versailles ou les laboratoires des Kew Gardens de Londres. »
[url=http://youtu.be/V6zXAlrHlQ8][align=center][color=blue][size=15][u][b]Documentaire Hugo Chavez Le Grand Mensonge [/b][/u][/size][/color][/align][/url]Synopsis : [bgcolor=#FFFF99]Le président vénézuélien Hugo Chavez est mort le 6 mars des suites d’un cancer. Après 14 ans de mandat, sa « révolution bolivarienne » laisse un bilan contrasté.
Côté pile, des réformes sociales qui ont changé la vie quotidienne au Venezuela : hôpitaux gratuits, alphabétisation du peuple. Grâce à l’argent du pétrole, Chavez a sorti son pays de la misère. Il restera sans doute comme l’une des grandes figures contemporaines de l’Amérique latine, aux côtés de Fidel Castro ou Lula.
Mais côté face, le « comandante » était un autocrate provocateur et imprévisible, adversaire des Etats-Unis et soutien des pires dictateurs de la planète (Ahmadinejad, Assad, Kadhafi). Dans son pays, la violence a explosé : 20 000 morts par an, ce qui fait du Venezuela un territoire plus dangereux que l’Irak. Autre point noir : la corruption, dont les principaux bénéficiaires seraient sa famille et son clan.
SPECIAL INVESTIGATION rediffuse une enquête de Caroline du Saint sur la part d’ombre du régime chaviste.[/bgcolor]
Attention avec ce reportage Ghislain, il est bourré de mensonges, c’est clairement de la propagande a charge anti chaviste, parmi les mensonges grossier on peux relever le moment ou la commentatrice prétend que Allo Présidente était transmis obligatoirement sur toutes les chaines, c’est du pur mytho, son émission était diffusée uniquement sur les chaines publiques et pas sur les privées.
La commentatrices dit a un moment « …la violence, l’opinion publique n’en entend casiment jamais parler, défense absolue d’évoquer ce themes la dans la presse, Chavez a pris peu a peu le contrôle de tout les médias » La on est dans le mensonge dégueulasse, la presse anti chaviste est ultra virulente au Vénézuela et a pignon sur rue, toutes les chaines de TV privées sont Anti Chavistes et il n’y a pas du tout que Globo Vision Anexo:Canales de televisión abierta en Venezuela - Wikipedia, la enciclopedia libre , d’ailleurs cette dame qui critique les milices chavistes (bien sur présentées comme une bande de tarés fanatiques, je supose que les suisses aussi sont des tarés fanatiques du coup?) et qui a une association de surveillance des armes s’exprime très tranquillement dans ce reportage. Venevision la chaine d’info nationales privée ne se gene pas du tout pour parler de violences a Caracas (verifie, vas voir leur site), se fait largement l’echos de l’opposition contrairement a ce que laisse entendre le reportage.
On voit d’ailleurs les journalistes de Globo Vision tranquillement faire leur reportage juste a coté du cordon de flics qu’ils accusent de les avoirs canardés, la commentatrice te montre que leur bâtiment est barricadé sous entendu pour se protéger des agressions du régime: c’est une blague magistrale, tout le monde est barricadé a Caracas si il a l’oseille pour le faire et c’était déja le cas avant Chavez, tout ceux qui peuvent se le payer ont une grille en fer forgé devant leur porte et a toutes les fenêtres.
Les doublages sont aussi mensongers, quand le médecin (a noter qu’il bosse dans l’hôpital ou je suis né) dit « nous avons peu de moyens » la vois française dit « sans aucun moyen »…
Tout est dans ce gout la, par exemple sur l’insécurité qui est un véritable problème la journaliste oublie d’expliquer le contexte: la guerre menée au narco trafic en Colombie a fait migrer une partie de l’activité criminelle au Venezuela, ça évidement on ne te l’explique pas.
On ne t’explique pas non plus qu’a l’époque prés Chavez Caracas était déjà un coupe gorge, la nuit dans ton lit tu pouvais entendre les coups de feu dans la rue, je te perle de mon expérience personnelle, je ne parle pas d’un bouquin ou d’un reportage. Ce que ne te dis pas le reportage c’est l’état désastreux dans lequel Chavez a récupéré le pays, je me rapelle de cette dame, ça a marqué mon adolescence, c’était quand je suis allé enterrer mon père a Carracas, une dame qui était femme de ménage pour une médecin que connaissait ma mère. Cette femme tenait son enfant par la main, un enfant rachitique a moitié chauve car il perdait ses cheveux par la malnutrition, elle implorait la medecin, sa cliente de lui donner de la nourriture en expliquant que son employeur ne la payait pas assez pour nourrir son fils. La médecin elle même faisant partie de la très réduite classe moyenne de l’époque lui donna quelques denrées mais on voyait bien que ça lui coûtait, a la vue du logement qui chez nous serait considéré HLM ou elle vivait on voyait très bien qu’elle ne roulait pas sur l’or elle même. La dame de ménage et son fils eux habitaient le bidon ville. La majorité du pays était dans le cas de cette dame, vivant dans des conditions atroces. Le premier defi de Chavez a été de faire face au problème social énorme de son pays sur le plan alimentaire, sur le logement, la santé et l’éducation. A la fin de sa vie, cad le début de son dernier mandat il disait que ses défis a relever étaient la sécurité de ses concitoyens et la problématique ecologique. Ce sont les défis que les venezueliens espèrent que Maduro sera relever, la tache est immense et l’opposition féroce et prête a tout pour faire échouer le projet socialiste.
Le reportage nous montre quand même que le Chavisme aide sur le plan social mais manipule l’e spectateur en assimilant l’éducation populaire socialiste, ou on apprend au pauvre hère a défendre son bifteck a de l’endoctrinement, c’est purement hallucinant.
Et y’en a plein d’autre mais la j’en ai marre mais soit bien conscient que ce reportage est bourré de manipulations et de mensonges, bien sur il y a des éléments de vérité mais tout est orienté systématiquement dans le même sens.
Et que l’on se comprenne bien, je suis plutôt pro Chaviste mais je connais aussi des gens qui critiquent le régime et pas que pour de mauvaises raisons, il y a plein de choses a critiquer, et contrairement a ce que veut nous faire croire le reportage la critique est libre et vive envers le régime au Venezuela, seulement dans le cas présent c’est vraiment de la propagande anti chaviste bete et méchante pas du tout quelque chose d’objectif et de nuancé qui apporterait une critique constructive (pourtant ce type de points de vue existe et s’exprime au venezuela). Vraiment a chier ce reportage.
Super reportage sur le pétrole
Super reportage sur l’agriculture
Vu qu’on a eu droit a Caracas hardcore voici Detroit hardcore:
(c’est du La Villardière, ça vaut ce que ça vaut, bien garder a l’esprit le cahier des charges sensationnaliste de ce type de reportages mais le but est atteint, ça fait bien flipper)
Un film tiré d’un livre plutot intéressant, surtout la partie sur Friedman et les Chicago boys, après la conclusion est un peu a l’ouest, a regarder quand meme.
Attention avec ce reportage Ghislain, il est bourré de mensonges, c'est clairement de la propagande a charge anti chaviste, parmi les mensonges grossier on peux relever le moment ou la commentatrice prétend que Allo Présidente était transmis obligatoirement sur toutes les chaines, c'est du pur mytho, son émission était diffusée uniquement sur les chaines publiques et pas sur les privées.Savoir si c'est vrai ou faux n'est pas le but de ce topic, il sert uniquement à servir de bibliothèque lorsque quelqu'un recherche un documentaire.
Pour te répondre tout de même, n’étant jamais allé au Vénézuela, je ne peux pas me permettre de donner un avis sur la situation de ce pays, je m’occupe déjà de comprendre les problèmes qui concerne notre pays, ce qui n’est pas mince affaire, ce que tu dois comprendre parfaitement :).
Cependant, ce pays m’intrigue, depuis que j’ai vu des Vénézuéliens se cacher au Mexique et dans les États du sud des États-Unis (Floride, Nouveau-Mexique…) et qui disent eux-mêmes fuir le régime Chavien. Tout n’est jamais tout blanc ou tout noir dans une histoire, mais la migration d’une partie de la population (bien souvent des pauvres) me laisse dubitatif.
Merci en tout cas pour ta contribution de vidéos. 
Mais de rien, c’est avec plaisir.
Evidemment je ne te demande pas d’être un spécialiste du Vénézuela, c’est bien pour ça que je te met en garde vis a vis de ce reportage qui resemble étrangement a de la propagande.
Tiens voici un copier coller d’un +/- objectif du régime chaviste:
+Le taux d’analphabétisme a chuté de 9,1% en 1999 à 4,9% en 2011.
83% des jeunes accèdent à l’enseignement supérieur.
La mortalité infantile a chuté de 19,15% à 13,95%,
l’espérance de vie a progressé de deux ans.
Près de la moitié de la population vivait sous le seuil de pauvreté en 1999, moins d’un quart aujourd’hui.
La pauvreté extrême a été divisée par deux (de 21,7% à 10,7%).
l’accès à la santé et à l’éducation sont gratuits
l’écart de revenus entre les plus riches et les plus pauvres s’est réduit (l’indice de Gini est passé de 0,46 à 0,39 en dix ans, 0 étant l’égalité absolue)
Chavez a instauré un salaire minimum et généralisé les retraites pour le secteur informel
Hugo Chavez a créé un système de protection sociale
Le pays est la 4ème puissance économique latino-américaine, après le Brésil, l’Argentine et le Mexique
la vie démocratique est irréprochable, l’ex-président américain Jimmy Carter, directeur du centre Carter, spécialisé dans le contrôle des opérations de vote, a déclaré que, des 92 élections que son centre a vérifié, « le processus électoral au Venezuela était le meilleur au monde », ajoutant même que celui des Etats-Unis était sans doute l’un des pires.
l’inflation a un rythme annuel autour des 30%
le Venezuela importe les deux tiers de ce qu’il consomme
le pays importe 80% de sa consommation alimentaire.
le taux d’homicide le plus élevé d’Amérique du Sud (50 pour 100.000 habitants en 2011, selon des chiffres officiels)
Le Vénézuela souffre de pénuries alimentaires chroniques, de coupures d’électricité et d’eau régulières
30 millions d’hectares de terres fertiles sont aujourd’hui laissées à l’abandon après que l’Etat ait exproprié près de 3 millions d’hectares
sa dépendance au pétroleEt j’ajoute à titre de comparaison que si le nombre de morts liés au narco trafiquants est important, il est de 20 000 par an bennés dans les rues au Mexique, pourtant gouverné par un gouvernement libéral.
La dernière remarque n’est pas anodine, en effet le Mexique est un des pire coupes gorge d’Amériques, ces problèmes de criminalité sont essentiellement liés aux cartels de la drogue. L’a présence de ces cartels est un véritable fléau en Amérique latine qui évidement décuple non seulement les crimes de sang mais aussi la corruption, les enlèvements et ce de la Bolivie au Mexique ce qui correspond tout simplement a la route de la drogue qui pour la plupart est commercialisée au USA. C’est un problème majeur et international qui vas bien au delà des frontières du Venezuela.
En ce qui concerne les Venezuelien qui fuient le régime chaviste dis toi bien une chose: aucun d’entre eux n’est pauvre, je suis catégorique, c’est au pire des classes moyennes, les pauvres du Venezuela n’ont juste pas les moyens de voyager a moi que ce soient des étudiants boursiers et dans ce cas la plupart partent pour Cuba… Les expatriés venezueliens sont dans leur grande majorité des riches et des classes moyennes et vu que c’est la profil type des opposant au chavisme on comprend bien pourquoi ils chargent la barque et il ne faut pas se mentir pour l’heure si on a un minimum de sous on vit mieux aux states ou en occident qu’au Venezuela ou il n’y a pas les problèmes d’inflation (surtout si on était habitué a vivre comme un nabab avec des serviteurs et sans jamais payer d’impôts) et d’insécurité. Par contre émigrer au Mexique pour fuir l’insécurité du Venezuela y’a quand même un petit coté foutage de gueule. Dernier point: il n’y a pas de persécutions politiques au Venezuela, les gens qui laissent entendre ce genre de trucs sont des menteurs.
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Car n’oublions jamais que même un CRS à une femme et des gosses et qu’il prend aussi des vacances. Et qu’à trop les solliciter les mecs finiront par déposer le casque et rejoindre les manifestants … Car faut pas déconner, même eux ne sont pas stupides au point de devenir esclaves pour un salaire de merde.
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