Criminalité

Je propose de développer des hypothèses ou des théories sur l’origine des actes criminels et sur la délinquance ici.
Les préjugés y seront les bienvenus car il faut bien partir de sa propre subjectivité pour c-o-n-s-t-i-t-u-e-r objectivement à plusieurs…!

Par exemple quelqu’un parle d’un genre de crime ou/et il formule un concept de terrain propice à l’avènement d’actes ou de personnalité « négatives ».
Il faudrait que pour chaque type de délinquance nous puissions clôturer une orientation adéquate à l’empêchement de cette dernière TOUT EN POURSUIVANT l’étude de ce sujet en autant de crime constaté. (mais peut-être était-ce l’origine du Plan C dès le début!)

On peut déjà y mettre la télé comme cause, avec tout les jeux télévisées fabriqué dans le seul but d’abrutir en leurs faisant croire que la vie c’est de dire le plus de conneries à la minute sous fond d’applaudissements du publique choisie déjà abrutis. Puis après c’est l’heure des infos, ou l’ont va bien encadrer l’esprit des gens en agissant sur la peur et en leurs soufflants quoi penser. Et enfin pour se détendre, les séries diffusées à base de meurtres, de viols et de règlements de comptes, on l’ont y voit figurer sang, sexe, violence… Surement pour appuyer les thèses journalistiques.

Il parait que vers le début de sa carrière un certain Bernard Tapie distribuait des téléviseurs gratuitement dans des foyers pour un laps de temps et quand il venait pour les récupérer un pourcentage significatif préférait les acquérir définitivement!

La télévision empêche de réfléchir ou de se concentrer sur ses propres souvenirs. Je suis sûr que beaucoup de gosses à des moments précis de leur vie auraient besoin de clarifier beaucoup de points sur leur vécu; au lieu de ça ils sont témoins de choses choquantes en guise de psychothérapie ou d’analyse! Dans des cas spéciaux par contre d’enfants qui auraient des repères complètement « dysfonctionnels » il est possible que quelques programmes tentent de les éclairer. Il apparait aussi une certaine rivalité entre des réalisateurs, producteurs etc qui se disputent des faits et des droits; tout le « vieux » cinéma français (pour parler de ce que je connais à peine!) semblait néanmoins prodigieusement savant, avant-gardiste et inspirateur…

Le sujet est il le crime au sens légaliste ou au sens éthique ? L’appropriation des communaux n’est au sens légal ni un crime, ni un délit, ni même une contravention. Et pourtant il s’agit d’interdire la possibilité d’une subsistance non commerciale à toute une communauté. Il s’agit de transformer la pauvreté (l’absence du superflu) en misère (l’absence du nécessaire). Y a-t-il pire crime (au sens éthique) ?

Son origine ? La destruction du sens communautaire, la colonisation du vernaculaire et de la subsistance par l’économie formelle. La rétroaction positive de l’effet sur la cause.

Les autres crimes ? Il faudrait distinguer ceux qui sont la conséquence statistiquement inévitable de celui là (comment accéder à la dignité quand on se voit interdire l’accès à la subsistance ?) et ceux qui auraient été perpétrés dans une société communautaire.

Le sujet est il le crime au sens légaliste ou au sens éthique ? L'appropriation des communaux n'est au sens légal ni un crime, ni un délit, ni même une contravention. Et pourtant il s'agit d'interdire la possibilité d'une subsistance non commerciale à toute une communauté. Il s'agit de transformer la pauvreté (l'absence du superflu) en misère (l'absence du nécessaire). Y a-t-il pire crime (au sens éthique) ?
Pour moi c'est de l'abus de pouvoir avec un soupçon de manipulation politique et économique. Et à votre avis, quelle est la part de responsabilité des médias télévisés et écrites dans cette histoire. Si l'ont avait pas habitué les citoyens à l'information prémâchée au gout unique, serions-nous en train de nous laisser faire sans réagir?
La télévision empêche de réfléchir ou de se concentrer sur ses propres souvenirs.
Cela dépend de ce que l'ont regarde, mais je partage plutôt votre sentiment et c'est de plus en plus flagrant depuis les années 2 000 mais ca avait déjà bien commencée dans les années 90.
Je suis sûr que beaucoup de gosses à des moments précis de leur vie auraient besoin de clarifier beaucoup de points sur leur vécu; au lieu de ça ils sont témoins de choses choquantes en guise de psychothérapie ou d'analyse! Dans des cas spéciaux par contre d'enfants qui auraient des repères complètement "dysfonctionnels" il est possible que quelques programmes tentent de les éclairer.
Pour cette remarque, je porte la faute sur les parents. Qui eux-mêmes se croient dans une série télévisée ou le but est de créer des problèmes familiaux afin de jouer les pseudos psychiatres en tentant une résolution de problème psychologique. Alors qu'ils ne se rendent pas compte que l'origine des maux viennent d'eux mêmes, et souvent ce sont les enfants qui subissent leurs besoins d'excès de sensationnelle en les collants à la télé pour éviter à devoir s'en occuper, et en plus sa les rends calmes et ne réclament pas de choses essentiels comme des câlins, des réponses à leurs questions, de l'attention... L'émission la plus intelligente et saine du monde ne saurait éduquer un enfant à la place de ses parents, puisque ces derniers reste le modèle par excellence pour l'enfant qui apprend la vie à travers les expériences parentales que celui-ci connaitra.
Il apparait aussi une certaine rivalité entre des réalisateurs, producteurs etc. qui se disputent des faits et des droits; tout le "vieux" cinéma français (pour parler de ce que je connais à peine!) semblait néanmoins prodigieusement savant, avant-gardiste et inspirateur...
Vous parlez d'une autre époque. Il n'y a pas si longtemps un grand acteur Français du nom de Jean Rochefort avait confié qu'à ses débuts, ils pensaient que la télé servirait à rendre les gens plus cultivés, les acteurs c'était donné comme mission de partager la culture qu'ils avaient acquise à travers les téléviseurs. Et jamais ils n'imaginaient à quel point la télévision pouvait dérivée. Voilà une des raisons de la qualité du cinéma de l'époque. A contrario l'esprit de compétition que c'est imposé le cinéma en voulant toujours proposer des films plus beaux, plus technologiques, aux budgets plus chères, de plus en plus vite ce qui réduit le temps imparti pour un film ce qui se traduit par une médiocrité plus que palpable.
Le sujet est il le crime au sens légaliste ou au sens éthique ? L'appropriation des communaux n'est au sens légal ni un crime, ni un délit, ni même une contravention. Et pourtant il s'agit d'interdire la possibilité d'une subsistance non commerciale à toute une communauté. Il s'agit de transformer la pauvreté (l'absence du superflu) en misère (l'absence du nécessaire). Y a-t-il pire crime (au sens éthique) ?
Pour moi c'est de l'abus de pouvoir avec un soupçon de manipulation politique et économique. Et à votre avis, quelle est la part de responsabilité des médias télévisés et écrites dans cette histoire. Si l'ont avait pas habitué les citoyens à l'information prémâchée au gout unique, serions-nous en train de nous laisser faire sans réagir?
Comme les enclosures se sont sérieusement développées à partir de la fin du XVIIIe, je dirais que la télé (ou tout autre objet technique) n'a sans doute pas arrangé les choses quand elle a fini par arriver, mais sans plus. L'important pour comprendre la Némésis actuelle c'est la vision du monde hubrique du monde moderne : la philosophie des Lumières.

Comparaison de la criminalité et des fraudes :

Il faudrait me prouver que la philosophie des lumières et l’enclosure ont un impact encore aujourd’hui.

Qui souffre de l’enclosure? Surtout que celle-ci a subi de grand remaniement agricole dans les 60-70, périodes ou quelques-uns ont enrichies leurs patrimoines, et ce n’est pas seulement les ultra-riches qui en ont profités à cette époque, le baby-boom de la classe populaire-moyenne en à bien jouit également.

Par contre j’ai oublié l’impact des pubs dans l’actualité médiatique télévisé. Ces pubs qui nous font passer pour des crétins si ont à pas le dernier modèle de téléphone mobile, la dernière coupe de cheveux à la mode, ou si l’on n’investit pas dans les assurances. Avons-nous besoin d’être bombardé d’objets à consommer?

Par contre j'ai oublié l'impact des pubs dans l'actualité médiatique télévisé. Ces pubs qui nous font passer pour des crétins si ont à pas le dernier modèle de téléphone mobile, la dernière coupe de cheveux à la mode, ou si l’on n’investit pas dans les assurances. Avons-nous besoin d'être bombardé d'objets à consommer?
Toutes tes remarques sont pertinentes; j'espère avoir le temps d'en développer quelques unes; pour ce qui est de la pub, je me suis déjà amusé à dire autour de moi que "comme les développeurs publicitaires sont des artistes, les publicités par la force des choses deviendront plus intéressantes que les programmes!" Pour ce qui est des produits Apple par exemple, il suffit de suivre le cours de l'action et on se rend compte que ce genre de marque ne servent qu'à faire des coups financiers; tandis que le pauvre gars comme moi, si je voulais passer des ordres en bourse et jouer rapidement, je n'en ai ni le droit, ni les moyens techniques! (diantre on nous vend le capitalisme, sans le capitalisme!; c'est peut-être pour ça qu'il continue d'y avoir des gens de droite!!). J'ai remarqué aussi que depuis que Benoit 16 a reçu une tablette Apple pour Noël il a perdu la foi et le cours Apple demeure plus que jamais la porte d'entrée du trad-ding...
Le sujet est il le crime au sens légaliste ou au sens éthique ? L'appropriation des communaux n'est au sens légal ni un crime, ni un délit, ni même une contravention. Et pourtant il s'agit d'interdire la possibilité d'une subsistance non commerciale à toute une communauté. Il s'agit de transformer la pauvreté (l'absence du superflu) en misère (l'absence du nécessaire). Y a-t-il pire crime (au sens éthique) ?

Son origine ? La destruction du sens communautaire, la colonisation du vernaculaire et de la subsistance par l’économie formelle. La rétroaction positive de l’effet sur la cause.

Les autres crimes ? Il faudrait distinguer ceux qui sont la conséquence statistiquement inévitable de celui là (comment accéder à la dignité quand on se voit interdire l’accès à la subsistance ?) et ceux qui auraient été perpétrés dans une société communautaire.


Nous pouvons ainsi considérer les grands faits d’actualité comme un problème politique et les faits divers comme des conséquences de la tragédie politique.

Il faudrait me prouver que la philosophie des lumières et l’enclosure ont un impact encore aujourd'hui.

Qui souffre de l’enclosure? Surtout que celle-ci a subi de grand remaniement agricole dans les 60-70, périodes ou quelques-uns ont enrichies leurs patrimoines, et ce n’est pas seulement les ultra-riches qui en ont profités à cette époque, le baby-boom de la classe populaire-moyenne en à bien jouit également.


Je crois que c’est l’invention du fil de fer barbelé qui a commencé à détruire la faune.

Il faudrait me prouver que la philosophie des lumières et l’enclosure ont un impact encore aujourd'hui.
Quelques mots clés pour vous permettre de chercher vous même sur les Lumières : modernité, progressisme, rationalisme, empirisme, matérialisme, individualisme, libéralisme ...

Sur l’enclosure des communaux, d’abord (pour me limiter comme vous au cas particulier de la terre) essayez donc d’aller dans la forêt la plus proche de chez vous pour en ramener de quoi vous chauffer et vous nourrir (le mode de vie d’une grosse part de la population au moyen âge), si vous y arrivez durablement sans avoir de soucis avec le propriétaire je voudrai bien admettre que vous affirmiez que dans votre région au moins on peut être pauvre sans être dans la misère.

Mais limiter les communaux à la terre c’est ne pas voir que tout ce que nous recevons de la nature et des générations précédentes sans que cela ait été produit, fabriqué, inventé par une personne (ou un petit nombre de personnes) bien identifiée(s) et que les générations futures sont fondées à attendre de nous que nous le leur transmettions au moins en aussi bon état que nous l’avons reçu, tout cela (de Blanche Neige ou Linux à l’eau, des routes aux semences, de l’air à la beauté du paysage à la possibilité de converser avec ses proches) relève des communaux, toute appropriation de cela est une spoliation qui a pour effet de transformer la pauvreté en misère, d’élargir le périmètre du devoir d’achat, de nous rendre esclaves du concept de pouvoir d’achat.

Je modifie donc un peu mon critère précédent. Si vous arrivez à vivre ne serait ce que quelques semaines sans avoir aucune relation avec des valeurs marchandes (comme 99% de la population au moyen-âge, comme 90% de la population mondiale avant le « développement »), alors effectivement l’enclosure des communaux n’a pas d’impact sur vous. Mais je ne vois guère que les plus riches à pouvoir se le permettre.

Si vous pensez que tout ça est bien vieux et que ce n’est plus à l’ordre du jour parce que tout ce qui est appropriable a été approprié, demandez à vos parents et à vos grands parents quelle part les dépenses incompressibles représentaient dans leur budget à votre âge.

Désolé de m’étendre sur ce sujet. J’arrête là. J’en ai déjà parlé dans plusieurs autres fils.

Lanredec a écrit:
« Comme les enclosures se sont sérieusement développées à partir de la fin du XVIIIe, je dirais que la télé (ou tout autre objet technique) n’a sans doute pas arrangé les choses quand elle a fini par arriver, mais sans plus. L’important pour comprendre la Némésis actuelle c’est la vision du monde hubrique du monde moderne : la philosophie des Lumières. »

C’est dans l’apogée que l’on s’invente une humilité critique (donc du modernisme) et qui indique un déclin dans lequel seuls ceux qui ont un but (de survie) à atteindre puisent (à condition qu’il leur soit possible) une consolation réparatrice. (un pauvre peu cultivé et en bonne santé à toutes les chance d’être heureux jusqu’à ce qu’il soit réellement exploité ou mis en demeure de faire la demande d’un crédit financier etc; d’autant que celui qui n’a pas de crédit est inembauchable).

Il s'agit de transformer la pauvreté (l'absence du superflu) en misère (l'absence du nécessaire).
Voilà une très belle synthèse - de la conscience ? - de l'inconscience ? - des oligarchies actuelles > L'aphorisme d'un modèle de civilisations "évoluées" ...
Y a-t-il pire crime (au sens éthique) ?
Il y a là, en tout cas, la source première de toutes criminalités (si l'on exclue la folie), et à n'en pas douter, des manipulations savamment orchestrées pour entrainer les peuples dans les révoltes et/ou dans les guerres en cours et à venir ... La Stratégie du Choc.

« quelle part les dépenses incompressibles représentaient »

Ce qui me frappe, c’est que de nos jours, sauf si SDF, il y a un droit de vivre, payant, dont il faut s’acquitter avant d’absorber la première goulée d’air.

Sur l'enclosure des communaux, d'abord (pour me limiter comme vous au cas particulier de la terre) essayez donc d'aller dans la forêt la plus proche de chez vous pour en ramener de quoi vous chauffer et vous nourrir (le mode de vie d'une grosse part de la population au moyen âge), si vous y arrivez durablement sans avoir de soucis avec le propriétaire je voudrai bien admettre que vous affirmiez que dans votre région au moins on peut être pauvre sans être dans la misère.
Vous avez raison, je me suis basé sur les méthodes de ma commune sans me préoccuper du reste. En effet, la forêt de ma commune appartient à un privé, le "châtelain" comme certains anciens l'appel. Certains habitants, dans la limite des lots de bois disponible, peuvent aller se procurer du bois gratuitement en échange de nettoyer la parcelle qui nous est attribuée et en coupant 1 stère sur 10 pour le propriétaire (je suis plus sur de la quantité mais c'est très proche).

En revanche, dans ma région, très peu de forêt appartiennent à des privées, elles sont majoritairement la propriété d’une commune. Vous avez par exemple le bois bourgeois de Dabo, qui permet à chaque habitants de sexe masculin de recevoir chaque année un lot de bois gratuitement. Cette pratique remonte au XVIe siècle, lorsque le seigneur qui habitait Dabo cherchait un moyen de convaincre les gens de rester dans le village, car faut savoir que le village se trouve en hauteur entouré de forêt, ce qui rendait la vie très difficile à cette époque surtout en hiver. Certes la parité homme/femme est à revoir dans cette histoire, mais les faits sont là.

En conclusion, je n’avais pas enlevé mes œillères lorsque j’ai pondu le texte plus haut, je retire donc mes propos et conçois que les pratiques que certaines communes appliquent dans ma région relève de l’exception.

Mais limiter les communaux à la terre c'est ne pas voir que tout ce que nous recevons de la nature et des générations précédentes sans que cela ait été produit, fabriqué, inventé par une personne (ou un petit nombre de personnes) bien identifiée(s) et que les générations futures sont fondées à attendre de nous que nous le leur transmettions au moins en aussi bon état que nous l'avons reçu, tout cela (de Blanche Neige ou Linux à l'eau, des routes aux semences, de l'air à la beauté du paysage à la possibilité de converser avec ses proches) relève des communaux, toute appropriation de cela est une spoliation qui a pour effet de transformer la pauvreté en misère, d'élargir le périmètre du devoir d'achat, de nous rendre esclaves du concept de pouvoir d'achat.
Mais si nous les jeunes, pouvions aujourd'hui, construire nos vies comme l'ont fait nos parents et nos grands-parents à l'époque, ne pensez-vous pas qu'on se lanceraient? Tout est une question de moyen, alors qu'à une certaine époque les gens profitait d'un pouvoir d'achat qui leurs permettait de débuter quelques parts pourvu qu'ils aient eu un lopin de terre et un peu de ciment pour consolider les briques. Aujourd'hui on n’arrive même pas à boucler nos fins de mois, les banques ne nous prêtes pas d'argents, les patrons ne nous font pas confiances, et avec ca l'État et ses copains du MEDEF et de l'UE nous en remettes une couche à coup de taxes et proposition d'arrêt du CDI. Les vieilles générations ont profités de l'héritage de leurs aïeuls, alors pourquoi nous n'en aurions pas le droit à notre tour? Certes, les générations sont confondent aujourd'hui au point de vue misère, toutes les tranches d'âges sont concernés désormais, mais si sous prétexte qu'un de mes parents vit dans le besoin, je devrais à son décès me priver de ses biens? A qui alors va-t-il les léguer, à l'État? Désolé mais ca me ferait mal...
... Les vieilles générations ont profités de l'héritage de leurs aïeuls, alors pourquoi nous n'en aurions pas le droit à notre tour ?
Peut-être parceque nous sommes des moutons égoïstes, égocentriques et capitalistes et que nous acceptons tout pourvu que l'on en crocs quelques miettes, contrairement aux "vieilles" générations qui avaient au moins le mérite de se serrer les coudes. Et accessoirement d'avoir des couilles ...

Depuis longtemps il me trotte une solution au sujet des viols: comme en chine où il existe une médecine préventive, pourquoi ne pas rendre obligatoire une visiste chez un psy une fois par an pour que la personne qui se sent des idées criminelles puisse se libérer par cette occasion. (celà ne résoudrait sans doute pas tous les cas mais pourrrait légèrement les diminuer)