Bonsoir Jacques
Nation : « une population réunie autour d’un même État ». Dis comme ça je me soumet (dans la mesure ou le choix de cet état est réellement effectué par la population, évidement.)
Je suis d’accord avec vous « vouloir » n’est pas « pouvoir » mais en se cas je vous renvoie à ma première remarque, cela peut-être symptomatique ou annonciateur d’une certaine utopie.
Et il me semble qu’une Nation sera beaucoup plus forte si on ne l’oriente pas sur se que l’on « voudrai » pour elle, (dans un idéal plus que relatif et qui de plus nous est peut-être que personnel), mais plutôt sur ce vers quoi elle peut réellement tendre. (Je ne suis pas sur d’être bien clair là … :rolleyes: )
De plus pourquoi se limiter à ne susciter que des désirs, que du rêve potentiel ? (Comme notre société de consommation libéralo-égocentrique le fait actuellement, comme les églises l’ont faîtes avant elle a l’aide du Divin.)
Pourquoi encore et toujours proposer aux hommes « du merveilleux » plutôt que du tangible ?
N’est-ce pas encore mentir aux hommes ? Est-ce digne d’une Démocratie ?
Fonder une nouvelle Démocratie n’est-ce pas, enfin, proposer aux hommes autre chose que du vent ?
N’est-ce pas enfin proposer aux hommes de véritables projets réalisables en tous points ? (Et enfin, changer vraiment les choses en inventant, en promouvant enfin du possible plutôt que du peut-être, en proposant enfin de « l’accessible à tous » !)
Sans vouloir faire de la psycho à deux balles, je crois que consciemment ou pas, nous refusons (par crainte ?) de perdre le contrôle sur les choses et les gens. Que cette raison nous pousse toujours (même inconsciemment) à proposer du « rêve » et/ou de « l’idéal », qui finit toujours par se transformer en dogme à un moment ou à un autre.
Je pense que si l’on veut une véritable Démocratie respectueuse de chacun, il faut peut-être en premier lieu accepter de perdre le contrôle sur les gens et les idées.
Et tous mes voeux à une véritable Démocratie ainsi qu’à vous-même !
Patrick